Jenson Button, Rubens Barrichello, Adrian Sutil, Fernando Alonso et Sébastien Buemi ont écopé d'une pénalité de cinq places sur la grille de départ dimanche pour leur comportement anti-sportif lors des qualifications samedi, a annoncé la FIA.
Button (Brawn GP), Barrichello (Brawn GP), Sutil (Force India) et Alonso (Renault) ont "réalisé leur meilleur tour durant la Q2" alors qu'un drapeau jaune était déployé, ce qui aurait dû les faire ralentir, selon la Fédération internationale de l'automobile.
"Les commissaires de course ont considéré la télémétrie donnée" par chaque écurie des pilotes incriminés. Celle-ci a "démontré que le pilote (concerné) n'avait pas réduit sa vitesse en voyant le drapeau jaune à la fin du virage 14", a fait savoir la FIA, ce qui correspond à "une pénalité de cinq places sur la grille".
A la différence de Button, Barrichello et Sutil, Alonso a bien ralenti, mais seulement après avoir dépassé le drapeau jaune, reconnaît la FIA, et n'échappe donc pas à la sanction.
A l'origine de l'incident, Sébastien Buemi (Toro Rosso) s'est également vu infliger une pénalité de cinq places pour ne pas s'être arrêté après son accident qui avait pourtant "sérieusement endommagé son véhicule". Buemi a "gêné les autres voitures", sa monoplace représentant un "obstacle potentiel pour les autres" pilotes.
Button (Brawn GP), Barrichello (Brawn GP), Sutil (Force India) et Alonso (Renault) ont "réalisé leur meilleur tour durant la Q2" alors qu'un drapeau jaune était déployé, ce qui aurait dû les faire ralentir, selon la Fédération internationale de l'automobile.
"Les commissaires de course ont considéré la télémétrie donnée" par chaque écurie des pilotes incriminés. Celle-ci a "démontré que le pilote (concerné) n'avait pas réduit sa vitesse en voyant le drapeau jaune à la fin du virage 14", a fait savoir la FIA, ce qui correspond à "une pénalité de cinq places sur la grille".
A la différence de Button, Barrichello et Sutil, Alonso a bien ralenti, mais seulement après avoir dépassé le drapeau jaune, reconnaît la FIA, et n'échappe donc pas à la sanction.
A l'origine de l'incident, Sébastien Buemi (Toro Rosso) s'est également vu infliger une pénalité de cinq places pour ne pas s'être arrêté après son accident qui avait pourtant "sérieusement endommagé son véhicule". Buemi a "gêné les autres voitures", sa monoplace représentant un "obstacle potentiel pour les autres" pilotes.