L'entreprise italienne Magneti Marelli serait prête à offrir un système de récupération de l'énergie cinétique (SREC) aux écuries de Formule 1 en échange d'un million $ (750 000 €) par équipe par saison.
Cette technologie, qui permet d'emmagasiner l'énergie créée lors des freinages dans des batteries à recharge rapide, fournit un surplus de puissance temporaire. L'an prochain, les pilotes pourront s'en servir lors des départs, des manœuvres de dépassement et pour se défendre contre des attaques.
Le SREC a fait ses débuts en F1 l'an dernier, mais son intégration n'a pas été chose facile : le poids du système avait tendance à annuler le surplus de puissance qu'il apportait et son développement a été très coûteux. En fin de saison, seulement McLaren et Ferrari s'en servaient encore.
Bien que l'utilisation du SREC figure toujours au règlement, les équipes se sont entendues pour le mettre de côté cette saison. La FIA tient énormément à cette technologie verte puisque c'est toute l'industrie automobile qui pourrait en bénéficier, mais il fallait trouver une solution moins dispendieuse et complexe avant de le réintégrer à la catégorie reine.
Magneti Marelli aurait donc fixé un prix d'un million de dollars pour son système. L'entreprise est une filiale de FIAT, propriétaire de Ferrari.
L'utilisation du SREC demeurera optionnelle l'an prochain, mais certaines écuries auraient déjà manifesté un intérêt pour l'offre de Magneti Marelli, dont Ferrari évidemment, mais aussi Red Bull, Toro Rosso et Sauber.
Quant à Williams, elle possède une entreprise consacrée au développement de tels systèmes et se servira donc de son propre concept. Les écuries Lotus et HRT ont déjà décidé de ne pas équiper leurs monoplaces de SREC l'an prochain.
Chose certaine, Force India voit l'utilisation d'un système de récupération de l'énergie cinétique comme une nécessité pour toute équipe sérieuse. "Il n'y aucune autre option possible que de courir avec le SREC", déclarait Otmar Szafnauer, le directeur des opérations de l'écurie, le mois dernier.
Cette technologie, qui permet d'emmagasiner l'énergie créée lors des freinages dans des batteries à recharge rapide, fournit un surplus de puissance temporaire. L'an prochain, les pilotes pourront s'en servir lors des départs, des manœuvres de dépassement et pour se défendre contre des attaques.
Le SREC a fait ses débuts en F1 l'an dernier, mais son intégration n'a pas été chose facile : le poids du système avait tendance à annuler le surplus de puissance qu'il apportait et son développement a été très coûteux. En fin de saison, seulement McLaren et Ferrari s'en servaient encore.
Bien que l'utilisation du SREC figure toujours au règlement, les équipes se sont entendues pour le mettre de côté cette saison. La FIA tient énormément à cette technologie verte puisque c'est toute l'industrie automobile qui pourrait en bénéficier, mais il fallait trouver une solution moins dispendieuse et complexe avant de le réintégrer à la catégorie reine.
Magneti Marelli aurait donc fixé un prix d'un million de dollars pour son système. L'entreprise est une filiale de FIAT, propriétaire de Ferrari.
L'utilisation du SREC demeurera optionnelle l'an prochain, mais certaines écuries auraient déjà manifesté un intérêt pour l'offre de Magneti Marelli, dont Ferrari évidemment, mais aussi Red Bull, Toro Rosso et Sauber.
Quant à Williams, elle possède une entreprise consacrée au développement de tels systèmes et se servira donc de son propre concept. Les écuries Lotus et HRT ont déjà décidé de ne pas équiper leurs monoplaces de SREC l'an prochain.
Chose certaine, Force India voit l'utilisation d'un système de récupération de l'énergie cinétique comme une nécessité pour toute équipe sérieuse. "Il n'y aucune autre option possible que de courir avec le SREC", déclarait Otmar Szafnauer, le directeur des opérations de l'écurie, le mois dernier.