C'est bientôt la rentrée scolaire en Finlande mais les vacances commencent pour Kimi Raikkonen, champion du monde de F1 engagé dans son rallye national au volant d'une Fiat Abarth Grande Punto préparée par son compatriote Tommi Makinen, quadruple champion du monde WRC.
"J'adore le rallye et je n'avais rien d'autre à faire ce week-end", a plaisanté Kimi jeudi en conférence de presse, assis à côté de Mikko Hirvonen et juste devant Sébastien Loeb, les deux animateurs habituels du WRC.
Casquette et tee-shirt Ferrari en haut, bermuda et tongues en bas, le Finlandais a répondu à toutes les questions, y compris sur son avenir.
"J'ai encore un an de contrat en F1, mais tout est possible et je reste très ouvert", a dit Kimi, très entouré par les photographes. "Je suis trop jeune pour ne rien faire et ça va dépendre de la manière dont la F1 évolue. Pour l'instant, personne n'en sait rien. Je ne suis pas pressé".
On a aussi parlé à Kimi, 2e en Hongrie dimanche dernier, du retour de Michael Schumacher chez Ferrari pour remplacer Felipe Massa, blessé sur le Hungaroring: "Je ne pense pas que ce soit 100% sûr, il est encore en train de vérifier certains trucs, mais si ça se fait je serai content de l'avoir comme coéquipier. Même si pour moi ça ne change pas grand chose".
Retour au rallye donc et à cette Abarth qu'il a déjà pilotée deux fois cet hiver, sur neige, à l'Arctic Rally (13e) puis au rallye de Mikkeli (17e). Il aura encore à ses côtés Kaj Lindstrom, ex-copilote de Tommi Makinen, un atout de poids pour ne pas mélanger les infos.
"Ce sera une bonne expérience pour moi. J'espère que nos notes seront bonnes et qu'on va bien s'amuser", espère le champion du monde 2007 de F1. Confiant, il n'a même pas participé au "shakedown", la séance d'essais du jeudi matin.
Peinte aux couleurs d'un constructeur de chalets en bois, l'Abarth S2000 de Raikkonen est moins puissante que la C4 de Loeb et la Focus d'Hirvonen. C'est la voiture idéale pour "finir le rallye", son objectif numéro 1, et accumuler de l'expérience en cas de reconversion ultérieure.
"Ca me semble plus normal de piloter sur terre que sur neige. Ca va plus vite, l'adhérence est bonne et les routes sont plus larges, ça va me permettre de soigner mes trajectoires. Même si parfois on ne sait pas comment placer la voiture sur une bosse", a encore dit le blond Kimi, caché sous sa casquette rouge. Puis il est reparti tranquillement, dans ses tongs.
"J'adore le rallye et je n'avais rien d'autre à faire ce week-end", a plaisanté Kimi jeudi en conférence de presse, assis à côté de Mikko Hirvonen et juste devant Sébastien Loeb, les deux animateurs habituels du WRC.
Casquette et tee-shirt Ferrari en haut, bermuda et tongues en bas, le Finlandais a répondu à toutes les questions, y compris sur son avenir.
"J'ai encore un an de contrat en F1, mais tout est possible et je reste très ouvert", a dit Kimi, très entouré par les photographes. "Je suis trop jeune pour ne rien faire et ça va dépendre de la manière dont la F1 évolue. Pour l'instant, personne n'en sait rien. Je ne suis pas pressé".
On a aussi parlé à Kimi, 2e en Hongrie dimanche dernier, du retour de Michael Schumacher chez Ferrari pour remplacer Felipe Massa, blessé sur le Hungaroring: "Je ne pense pas que ce soit 100% sûr, il est encore en train de vérifier certains trucs, mais si ça se fait je serai content de l'avoir comme coéquipier. Même si pour moi ça ne change pas grand chose".
Retour au rallye donc et à cette Abarth qu'il a déjà pilotée deux fois cet hiver, sur neige, à l'Arctic Rally (13e) puis au rallye de Mikkeli (17e). Il aura encore à ses côtés Kaj Lindstrom, ex-copilote de Tommi Makinen, un atout de poids pour ne pas mélanger les infos.
"Ce sera une bonne expérience pour moi. J'espère que nos notes seront bonnes et qu'on va bien s'amuser", espère le champion du monde 2007 de F1. Confiant, il n'a même pas participé au "shakedown", la séance d'essais du jeudi matin.
Peinte aux couleurs d'un constructeur de chalets en bois, l'Abarth S2000 de Raikkonen est moins puissante que la C4 de Loeb et la Focus d'Hirvonen. C'est la voiture idéale pour "finir le rallye", son objectif numéro 1, et accumuler de l'expérience en cas de reconversion ultérieure.
"Ca me semble plus normal de piloter sur terre que sur neige. Ca va plus vite, l'adhérence est bonne et les routes sont plus larges, ça va me permettre de soigner mes trajectoires. Même si parfois on ne sait pas comment placer la voiture sur une bosse", a encore dit le blond Kimi, caché sous sa casquette rouge. Puis il est reparti tranquillement, dans ses tongs.