Casques F1 - La haute technologie à l’état pur !
Le fabricant de casques, Schuberth, installé à Magdebourg vient de démontrer une fois de plus l’importance du recours à des matériaux et à des matières d’une technologie de pointe : La fibre de carbone T 1000 a préservé de graves blessures le pilote brésilien Felipe Massa lors de son accident au Grand Prix de Hongrie...
Il faut environ 3 000 heures de travail aux spécialistes de chez Schuberth pour élaborer un casque de Formule 1. Une attention particulière est réservée au cours de ce travail à l’élaboration de la fibre de carbone, un matériau qui exige le savoir-faire des spécialistes de Schuberth pour devenir utilisable dans la production de casques de Formule 1. La T 1000 est aujourd’hui l’indice de référence car c’est de nos jours la seule fibre de carbone au monde qui résiste le mieux aux chocs.
Des millions de tout petits fils, tissés en segments allant de 80 à 120 couches, forment une couche, qui constitue l’armature essentielle de la coquille du casque. Le casque de Felipe Massa comptait 18 de ces couches en fibre de carbone, un casque de moto normal en comporte trois. Les indices de performance antichoc de la fibre de carbone sont actuellement inégalés. Une peinture spéciale a de surcroît pour effet qu’un casque de Formule 1 résiste pendant 45 secondes à la chaleur d’un chalumeau (environ 900 degrés Celsius) tenu à une distance de cinq centimètres.
Protection et sécurité mais aussi une question de confort
Le casque ne protège pas seulement le pilote en cas d’accident, il permet aussi de les éviter. C’est pourquoi les casques sont équipés d’un col acoustique spécial, en vue de réduire au maximum le stress sonore. À l’oreille du pilote parvient un sourd grondement de moteur de moins de 100 décibels. En même temps, dans son dos, à une distance d’une longueur de bras à peine, se déchaîne un huit cylindres qui monte à 19 000 tours. En raison de l’énorme force centrifuge, le poids joue également un rôle important. Lors du freinage, la musculature du cou encaisse par moment jusqu’à six fois la force d’attraction terrestre. Sur la distance d’une course, même les six grammes, que l’attache de la mentonnière en titane gagne sur celle en acier, représentent un soulagement considérable.
La protection de la vue se compose d’une visière en polycarbonate d’une épaisseur de quatre millimètres à l’épreuve des chocs, capable de résister à un tir de particules atteignant les 500km/h. Pour la pluie, les ingénieurs de Schuberth ont offert en 2008 à leurs pilotes une visière chauffante (une nouveauté mondiale à l’époque). D’ailleurs, après la course sous la pluie de Silverstone, cette technologie avait suscité l’intérêt d’autres pilotes du Championnat F1.
Le succès grâce au transfert de technologie à partir de la Formule 1
Les performances des casques de Formule 1 sont possibles grâce à une longue période de développement qui est également une entreprise onéreuse : Le fabricant de casques Schuberth fait une estimation des coûts d’un montant à six chiffres avant qu’un nouveau casque de Formule 1 ne soit effectif. Il est prévu que l’adaptation aux têtes des pilotes de Formule 1 soit réalisé sur des modèles scannés. Par son engagement dans la catégorie reine du sport automobile, l’entreprise retire toutefois un capital intellectuel pour ses autres branches de produits. De nombreux détails et des nouveautés techniques, qui ont fait leurs preuves en Formule 1, passent dans l’élaboration de casques pour les domaines de protection contre les accidents du travail qui servent ensuite aux pompiers, à la police et à l’armée.
Marcel Lejeune, gérant de la Schuberth GmbH souligne l’importance de la Formule 1 pour le développement d’autres casques Schuberth : " La Formule 1 est la plateforme idéale pour tester nos produits à un haut niveau technique et dans des conditions extrêmes. Tout ce que nous apprenons dans la Formule 1, nous le transférons sur nos autres domaines de production : La moto, la protection contre les accidents du travail, la police et l’armée. Chacun de nos clients profite à plein de nos expériences en Formule 1. Notre objectif suprême est de pouvoir offrir une protection de la tête calibrée de façon optimale en assurant une sécurité maximale.
Le fabricant de casques, Schuberth, installé à Magdebourg vient de démontrer une fois de plus l’importance du recours à des matériaux et à des matières d’une technologie de pointe : La fibre de carbone T 1000 a préservé de graves blessures le pilote brésilien Felipe Massa lors de son accident au Grand Prix de Hongrie...
Il faut environ 3 000 heures de travail aux spécialistes de chez Schuberth pour élaborer un casque de Formule 1. Une attention particulière est réservée au cours de ce travail à l’élaboration de la fibre de carbone, un matériau qui exige le savoir-faire des spécialistes de Schuberth pour devenir utilisable dans la production de casques de Formule 1. La T 1000 est aujourd’hui l’indice de référence car c’est de nos jours la seule fibre de carbone au monde qui résiste le mieux aux chocs.
Des millions de tout petits fils, tissés en segments allant de 80 à 120 couches, forment une couche, qui constitue l’armature essentielle de la coquille du casque. Le casque de Felipe Massa comptait 18 de ces couches en fibre de carbone, un casque de moto normal en comporte trois. Les indices de performance antichoc de la fibre de carbone sont actuellement inégalés. Une peinture spéciale a de surcroît pour effet qu’un casque de Formule 1 résiste pendant 45 secondes à la chaleur d’un chalumeau (environ 900 degrés Celsius) tenu à une distance de cinq centimètres.
Protection et sécurité mais aussi une question de confort
Le casque ne protège pas seulement le pilote en cas d’accident, il permet aussi de les éviter. C’est pourquoi les casques sont équipés d’un col acoustique spécial, en vue de réduire au maximum le stress sonore. À l’oreille du pilote parvient un sourd grondement de moteur de moins de 100 décibels. En même temps, dans son dos, à une distance d’une longueur de bras à peine, se déchaîne un huit cylindres qui monte à 19 000 tours. En raison de l’énorme force centrifuge, le poids joue également un rôle important. Lors du freinage, la musculature du cou encaisse par moment jusqu’à six fois la force d’attraction terrestre. Sur la distance d’une course, même les six grammes, que l’attache de la mentonnière en titane gagne sur celle en acier, représentent un soulagement considérable.
La protection de la vue se compose d’une visière en polycarbonate d’une épaisseur de quatre millimètres à l’épreuve des chocs, capable de résister à un tir de particules atteignant les 500km/h. Pour la pluie, les ingénieurs de Schuberth ont offert en 2008 à leurs pilotes une visière chauffante (une nouveauté mondiale à l’époque). D’ailleurs, après la course sous la pluie de Silverstone, cette technologie avait suscité l’intérêt d’autres pilotes du Championnat F1.
Le succès grâce au transfert de technologie à partir de la Formule 1
Les performances des casques de Formule 1 sont possibles grâce à une longue période de développement qui est également une entreprise onéreuse : Le fabricant de casques Schuberth fait une estimation des coûts d’un montant à six chiffres avant qu’un nouveau casque de Formule 1 ne soit effectif. Il est prévu que l’adaptation aux têtes des pilotes de Formule 1 soit réalisé sur des modèles scannés. Par son engagement dans la catégorie reine du sport automobile, l’entreprise retire toutefois un capital intellectuel pour ses autres branches de produits. De nombreux détails et des nouveautés techniques, qui ont fait leurs preuves en Formule 1, passent dans l’élaboration de casques pour les domaines de protection contre les accidents du travail qui servent ensuite aux pompiers, à la police et à l’armée.
Marcel Lejeune, gérant de la Schuberth GmbH souligne l’importance de la Formule 1 pour le développement d’autres casques Schuberth : " La Formule 1 est la plateforme idéale pour tester nos produits à un haut niveau technique et dans des conditions extrêmes. Tout ce que nous apprenons dans la Formule 1, nous le transférons sur nos autres domaines de production : La moto, la protection contre les accidents du travail, la police et l’armée. Chacun de nos clients profite à plein de nos expériences en Formule 1. Notre objectif suprême est de pouvoir offrir une protection de la tête calibrée de façon optimale en assurant une sécurité maximale.
