Bernie Ecclestone a déclaré que Flavio Briatore était le bienvenu en Formule 1, après que son bannissement à vie du sport automobile ait été levé par le Tribunal de Grande Instance (TGI) de Paris ce mardi.
"J’ai dit à l’époque que même les meurtriers n’étaient pas condamnés à vie à cette époque et la cour semble d’accord," a indiqué Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, cité par le journal britannique Express.
"Il est le bienvenu à revenir dans le paddock. Il était un grand protagoniste en Formule 1, mais je ne suis pas sûr si c’est ce qu’il veut faire maintenant. Je pense qu’il surmontera ça. C’est bien pour lui, mais ce n’est pas bien pour la FIA quand vous lisez le verdict."
La justice française a en effet estimé que la sanction rendue par la FIA était "irrégulière" et "inégale" par rapport à ses compétences, son règlement ne lui permettant pas de bannir à vie une personne du sport automobile.
De plus, le TGI a exhorté l’autorité sportive de la Formule 1 a annoncé publiquement la levée des sanctions qu’elle avait infligées à l’encontre de Flavio Briatore et Pat Symonds. Elle doit également publier la décision du tribunal dans les journaux français du choix des deux anciens employés de l’équipe Renault.
"J’ai dit à l’époque que même les meurtriers n’étaient pas condamnés à vie à cette époque et la cour semble d’accord," a indiqué Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, cité par le journal britannique Express.
"Il est le bienvenu à revenir dans le paddock. Il était un grand protagoniste en Formule 1, mais je ne suis pas sûr si c’est ce qu’il veut faire maintenant. Je pense qu’il surmontera ça. C’est bien pour lui, mais ce n’est pas bien pour la FIA quand vous lisez le verdict."
La justice française a en effet estimé que la sanction rendue par la FIA était "irrégulière" et "inégale" par rapport à ses compétences, son règlement ne lui permettant pas de bannir à vie une personne du sport automobile.
De plus, le TGI a exhorté l’autorité sportive de la Formule 1 a annoncé publiquement la levée des sanctions qu’elle avait infligées à l’encontre de Flavio Briatore et Pat Symonds. Elle doit également publier la décision du tribunal dans les journaux français du choix des deux anciens employés de l’équipe Renault.
