Lewis Hamilton n’est pas tendre envers une bonne partie des pilotes du plateau. Pour lui, c’est tout simplement honteux que certains pilotes se soient plaints des conditions climatiques en Corée du Sud.
Le départ du Grand Prix sud-coréen a été retardé d’une bonne heure ce dimanche matin. Tout d’abord lancée derrière la voiture de sécurité, la course a vite été arrêtée après quatre tours en raison de conditions climatiques trop difficiles qui rendaient impraticable la conduite sur le circuit de Yeongam. Le Grand Prix a repris après une pause d’une demi-heure, toujours sous le régime de la voiture de sécurité et ce pendant 13 tours encore.
Cependant, même si la FIA a eu raison d’interrompre le Grand Prix, l’attitude des pilotes lors de la reprise n’a pas laissé Lewis Hamilton indifférent. Alors que la plupart de ses collègues se plaignaient des conditions difficiles derrière la voiture de sécurité, le Britannique était l’un des rares à vouloir que la safety car s’efface pour permettre à la course d’enfin débuter – et ce bien avant sa rentrée au terme du 17ème tour !
Et Lewis Hamilton, qui s’est adjugé la deuxième place derrière Fernando Alonso en Corée du Sud, n’est pas tendre envers les pilotes qui se sont plaints. Pour lui, leur attitude était tout simplement honteuse car la voiture de sécurité aurait dû rentrer bien plus tôt.
"On a connu des courses sous la pluie à Fuji et il y a de nombreuses autres courses, rien que cette année, qui se sont déroulées dans de mauvaises conditions climatiques. La visibilité n’était pas si mauvaise ici. C’est honteux que tout le monde se plaigne. C’est ça la course moderne et moi ce que j’aime, c’est la course. Moi, je voulais y aller," a déclaré Lewis Hamilton à la télévision belge RTBF.
"On a passé 17 tours derrière la voiture de sécurité. Ce n’est pas génial pour les spectateurs et ce n’est pas marrant pour nous non plus. Cela avait suffisamment séché pour que l’on puisse s’élancer. Finalement, on a pu démarrer et j’en suis heureux. Maintenant, je suis impatient de disputer les deux dernières courses. J’espère qu’on pourra compter sur des choses positives en provenance de l’usine. Les mecs y font du boulot fantastique. Un grand merci à eux."
Et Lewis Hamilton n’est pas le seul à penser que le maintien en piste de la voiture de sécurité par la FIA, pendant 17 tours, était on ne peut plus ridicule. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la FIA s’adonne à une telle mascarade. Ne sont-ils pas sensés être les meilleurs pilotes de course au monde ?
Le départ du Grand Prix sud-coréen a été retardé d’une bonne heure ce dimanche matin. Tout d’abord lancée derrière la voiture de sécurité, la course a vite été arrêtée après quatre tours en raison de conditions climatiques trop difficiles qui rendaient impraticable la conduite sur le circuit de Yeongam. Le Grand Prix a repris après une pause d’une demi-heure, toujours sous le régime de la voiture de sécurité et ce pendant 13 tours encore.
Cependant, même si la FIA a eu raison d’interrompre le Grand Prix, l’attitude des pilotes lors de la reprise n’a pas laissé Lewis Hamilton indifférent. Alors que la plupart de ses collègues se plaignaient des conditions difficiles derrière la voiture de sécurité, le Britannique était l’un des rares à vouloir que la safety car s’efface pour permettre à la course d’enfin débuter – et ce bien avant sa rentrée au terme du 17ème tour !
Et Lewis Hamilton, qui s’est adjugé la deuxième place derrière Fernando Alonso en Corée du Sud, n’est pas tendre envers les pilotes qui se sont plaints. Pour lui, leur attitude était tout simplement honteuse car la voiture de sécurité aurait dû rentrer bien plus tôt.
"On a connu des courses sous la pluie à Fuji et il y a de nombreuses autres courses, rien que cette année, qui se sont déroulées dans de mauvaises conditions climatiques. La visibilité n’était pas si mauvaise ici. C’est honteux que tout le monde se plaigne. C’est ça la course moderne et moi ce que j’aime, c’est la course. Moi, je voulais y aller," a déclaré Lewis Hamilton à la télévision belge RTBF.
"On a passé 17 tours derrière la voiture de sécurité. Ce n’est pas génial pour les spectateurs et ce n’est pas marrant pour nous non plus. Cela avait suffisamment séché pour que l’on puisse s’élancer. Finalement, on a pu démarrer et j’en suis heureux. Maintenant, je suis impatient de disputer les deux dernières courses. J’espère qu’on pourra compter sur des choses positives en provenance de l’usine. Les mecs y font du boulot fantastique. Un grand merci à eux."
Et Lewis Hamilton n’est pas le seul à penser que le maintien en piste de la voiture de sécurité par la FIA, pendant 17 tours, était on ne peut plus ridicule. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la FIA s’adonne à une telle mascarade. Ne sont-ils pas sensés être les meilleurs pilotes de course au monde ?
