Felipe Massa était clairement mécontent, en dépit de sa deuxième place dans le Grand Prix d'Allemagne, à Hockenheim. Le Brésilien n'a pas digéré le dépassement par son coéquipier au 49e tour.
"Fernando est plus rapide, peux-tu confirmer ce message ?" C'est la communication radio de la discorde, celle adressée par son stand à Felipe Massa avant que ce dernier ne laisse littéralement passer Fernando Alonso. Elle est venue de son ingénieur de course Rob Smedley.
À un journaliste lui demandant en conférence de presse si c'était "sa décision" de se laisser doubler par Alonso, le Brésilien a répondu "Oui absolument !", avant de se mettre à ricaner.
"Hé bien, je ne pense pas avoir quoi que ce soit à ajouter à cela", a déclaré Massa, un an jour pour jour après avoir failli perdre la vie dans le terrible accident de se F2009 à Budapest. "Le seule chose que je ressente est que l'on a travaillé pour l'équipe et c'est la chose la plus importante."
Alors qu'on lui demandait s'il méritait de gagner, Massa a répondu : "Je le crois. Le départ a été fantastique. J'avais un bon rythme avec les pneus tendres. J'ai eu plus de problèmes avec les durs mais la course a été bonne pour nous."
"Ce qui s'est passé aujourd'hui est à l'image de ce que j'ai vécu le reste de l'année. Je me bats plus avec les gommes dures, en terme d'adhérence. C'est exactement ce qui s'est passé dimanche. Je suis très fort en gommes tendres. Mais je me bats avec les dures", a-t-il remarqué.
Massa est à 72 points du leader Lewis Hamilton. Alonso est revenu à 34 points.
Alors que la F1 prend la direction de Budapest, Massa ne s'estime plus prétendant au titre. "Je ne lutte plus pour la première place", a-t-il reconnu. Mais il affirme que son comportement dimanche après-midi n'a pas nuit à sa réputation. "Je suis professionnel et je l'ai montré au cours de ma carrière. Vous (journalistes) êtes aussi professionnels. Vous travaillez pour une société. Je crois que vous faites ce que vous avez à faire. Aujourd'hui, j'ai démontré que j'étais aussi professionnel."
"Fernando est plus rapide, peux-tu confirmer ce message ?" C'est la communication radio de la discorde, celle adressée par son stand à Felipe Massa avant que ce dernier ne laisse littéralement passer Fernando Alonso. Elle est venue de son ingénieur de course Rob Smedley.
À un journaliste lui demandant en conférence de presse si c'était "sa décision" de se laisser doubler par Alonso, le Brésilien a répondu "Oui absolument !", avant de se mettre à ricaner.
"Hé bien, je ne pense pas avoir quoi que ce soit à ajouter à cela", a déclaré Massa, un an jour pour jour après avoir failli perdre la vie dans le terrible accident de se F2009 à Budapest. "Le seule chose que je ressente est que l'on a travaillé pour l'équipe et c'est la chose la plus importante."
Alors qu'on lui demandait s'il méritait de gagner, Massa a répondu : "Je le crois. Le départ a été fantastique. J'avais un bon rythme avec les pneus tendres. J'ai eu plus de problèmes avec les durs mais la course a été bonne pour nous."
"Ce qui s'est passé aujourd'hui est à l'image de ce que j'ai vécu le reste de l'année. Je me bats plus avec les gommes dures, en terme d'adhérence. C'est exactement ce qui s'est passé dimanche. Je suis très fort en gommes tendres. Mais je me bats avec les dures", a-t-il remarqué.
Massa est à 72 points du leader Lewis Hamilton. Alonso est revenu à 34 points.
Alors que la F1 prend la direction de Budapest, Massa ne s'estime plus prétendant au titre. "Je ne lutte plus pour la première place", a-t-il reconnu. Mais il affirme que son comportement dimanche après-midi n'a pas nuit à sa réputation. "Je suis professionnel et je l'ai montré au cours de ma carrière. Vous (journalistes) êtes aussi professionnels. Vous travaillez pour une société. Je crois que vous faites ce que vous avez à faire. Aujourd'hui, j'ai démontré que j'étais aussi professionnel."