Les relations entre la FIA et l'écurie Ferrari sont au plus bas depuis que la Scuderia avait menacé de quitter en F1 en faveur de la série IndyCar et les 500 Milles d'Indianapolis au cours des années 80.
À cette époque, la FIA désirait interdire les moteurs V12, comme ceux de Ferrari. Enzo Ferari était tellement en furie qu'il avait menacé que son équipe quitterait la Formule 1. Pour en donner la preuve, il avait fait construire une monoplace d'IndyCar, la 637, qu'on peut admirer à la Galleria Ferrari à Maranello.
Ferrari 637 IndyCar
Cette fois, il semble bien que la menace soit Le Mans. En juin qui vient, le patron de l'écurie de F1 Ferrari, Stefano Domenicali, et le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, assisteront à la grande classique d'endurance présentée au Mans. Montezemolo y donnera même le signal du départ.
« Le Mans est synonyme de compétition technologiquement avancée. Le Mans a toujours été une source d'intérêt pour nous, » a souligné Montezemolo.
Cette menace est la conséquence de messages qui ont circulé cette semaine entre Montezemolo et le président de la FIA, Max Mosley à propos du plafond budgétaire volontaire de 44 millions d'euros.
L'opposition que voue Montezemolo à ce projet est bien connue de tous, mais dans une lettre, il mentionne que « les droits garantis de Ferrari » n'ont pas été respectés.
On croit qu'il se réfère à un droit de véto accordé à Ferrari il y a de cela quatre ans, cadeau offert à la Scuderia pour ne pas qu'elle participe à un éventuel championnat parallèle.
Et Mosley de répondre dans une autre lettre : « Je n'accepte pas qu'on affirme que ces règles controviennent avec certains droits accordés à Ferrari, à moins que Ferrari ne tienne à démontrer qu'elle s'oppose à l'arrivée de nouvelles équipes en F1 à un moment où le sport a bien besoin de nouveaux participants ».
À cette époque, la FIA désirait interdire les moteurs V12, comme ceux de Ferrari. Enzo Ferari était tellement en furie qu'il avait menacé que son équipe quitterait la Formule 1. Pour en donner la preuve, il avait fait construire une monoplace d'IndyCar, la 637, qu'on peut admirer à la Galleria Ferrari à Maranello.
Ferrari 637 IndyCar
Cette fois, il semble bien que la menace soit Le Mans. En juin qui vient, le patron de l'écurie de F1 Ferrari, Stefano Domenicali, et le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, assisteront à la grande classique d'endurance présentée au Mans. Montezemolo y donnera même le signal du départ.
« Le Mans est synonyme de compétition technologiquement avancée. Le Mans a toujours été une source d'intérêt pour nous, » a souligné Montezemolo.
Cette menace est la conséquence de messages qui ont circulé cette semaine entre Montezemolo et le président de la FIA, Max Mosley à propos du plafond budgétaire volontaire de 44 millions d'euros.
L'opposition que voue Montezemolo à ce projet est bien connue de tous, mais dans une lettre, il mentionne que « les droits garantis de Ferrari » n'ont pas été respectés.
On croit qu'il se réfère à un droit de véto accordé à Ferrari il y a de cela quatre ans, cadeau offert à la Scuderia pour ne pas qu'elle participe à un éventuel championnat parallèle.
Et Mosley de répondre dans une autre lettre : « Je n'accepte pas qu'on affirme que ces règles controviennent avec certains droits accordés à Ferrari, à moins que Ferrari ne tienne à démontrer qu'elle s'oppose à l'arrivée de nouvelles équipes en F1 à un moment où le sport a bien besoin de nouveaux participants ».