Le Français Sébastien Bourdais, 17e en qualifications du Grand Prix d'Espagne de Formule 1 samedi, s'est dit déçu par le niveau de compétitivité de sa Toro Rosso, quand son partenaire suisse Sébastien Buemi a davantage relativisé.
"On n'a pas le potentiel, le niveau de compétitivité qu'on espérait. On a fait un bon pas en avant. Mais les autres en ont fait autant. (...) 0n n'a pas l'impression d'avoir fait de grosse boulette. Pourtant, on est 15e et 17e. Cela laisse peu de perspectives", a regretté Bourdais.
Le problème, a expliqué le Français, est que Toro Rosso n'a "pas optimisé" toutes les pièces dont la monoplace a été dotée à Barcelone, qui devaient lui faire gagner 6 à 8/10e au tour, par manque de temps et parce qu'elle est partie dans la mauvaise direction vendredi.
"Si le week-end recommençait, on ferait quelque chose de très différent au niveau des réglages. Si on avait des essais, ça nous aiderait beaucoup. Là, on a pas mal d'idées, mais on ne sait pas quand les appliquer", a-t-il expliqué.
Toutes les équipes rencontrent "les mêmes difficultés", a convenu Bourdais, mais la plupart "partent d'une base qu'elles connaissent mieux" que Toro Rosso, qui n'avait testé sa monoplace qu'une seule fois avant le premier Grand Prix de l'année, en Australie.
"Mais on n'est pas prêt à rendre les armes. On va continuer de bosser, jusqu'à ce que ça s'arrange. On verra à Istanbul. Je n'ai aucune idée de ce qu'on peut attendre de Monaco", le prochain GP, a affirmé Bourdais.
"Je ne suis pas déçu. Il ne faut pas attendre les évolutions comme un miracle. Il faut travailler. C'est normal qu'au début on ne les utilise pas au maximum. On va à chaque fois les utiliser de mieux en mieux. A partir de la Turquie, on en tirera le potentiel maximum", a davantage positivé son partenaire, Sébastien Buemi.
"Bien sûr, on aspirait à être plus proche. On ne savait pas que les Ferrari allaient tant progresser, ni les BMW Sauber", a poursuivi le Suisse, qui a toutefois pesté contre sa 15e place en qualifications.
"Ce n'est pas bien. Massa me gêne et on perd beaucoup de temps. On aurait pu faire entre la 11e et la 13e place. On était 11e en première phase de qualifications", a rappelé Buemi.
"On n'a pas le potentiel, le niveau de compétitivité qu'on espérait. On a fait un bon pas en avant. Mais les autres en ont fait autant. (...) 0n n'a pas l'impression d'avoir fait de grosse boulette. Pourtant, on est 15e et 17e. Cela laisse peu de perspectives", a regretté Bourdais.
Le problème, a expliqué le Français, est que Toro Rosso n'a "pas optimisé" toutes les pièces dont la monoplace a été dotée à Barcelone, qui devaient lui faire gagner 6 à 8/10e au tour, par manque de temps et parce qu'elle est partie dans la mauvaise direction vendredi.
"Si le week-end recommençait, on ferait quelque chose de très différent au niveau des réglages. Si on avait des essais, ça nous aiderait beaucoup. Là, on a pas mal d'idées, mais on ne sait pas quand les appliquer", a-t-il expliqué.
Toutes les équipes rencontrent "les mêmes difficultés", a convenu Bourdais, mais la plupart "partent d'une base qu'elles connaissent mieux" que Toro Rosso, qui n'avait testé sa monoplace qu'une seule fois avant le premier Grand Prix de l'année, en Australie.
"Mais on n'est pas prêt à rendre les armes. On va continuer de bosser, jusqu'à ce que ça s'arrange. On verra à Istanbul. Je n'ai aucune idée de ce qu'on peut attendre de Monaco", le prochain GP, a affirmé Bourdais.
"Je ne suis pas déçu. Il ne faut pas attendre les évolutions comme un miracle. Il faut travailler. C'est normal qu'au début on ne les utilise pas au maximum. On va à chaque fois les utiliser de mieux en mieux. A partir de la Turquie, on en tirera le potentiel maximum", a davantage positivé son partenaire, Sébastien Buemi.
"Bien sûr, on aspirait à être plus proche. On ne savait pas que les Ferrari allaient tant progresser, ni les BMW Sauber", a poursuivi le Suisse, qui a toutefois pesté contre sa 15e place en qualifications.
"Ce n'est pas bien. Massa me gêne et on perd beaucoup de temps. On aurait pu faire entre la 11e et la 13e place. On était 11e en première phase de qualifications", a rappelé Buemi.
