Deux des meilleurs pilotes de Formule 1 ont critiqué la crise qui secoue actuellement le monde des Grands Prix et qui menace de voir la moitié du plateau quitter le sport.
Plusieurs constructeurs automobiles, dont Ferrari et Renault, menacent de quitter la F1 si la FIA impose de force son projet de règlement qui fixera un plafond budgétaire aux équipes dès 2010.
« Selon moi, il est vraiment étrange que personne ne se soit assis et ait songé au tort causé au sport automobile depuis deux mois, » a déclaré Fernando Alonso aux journalistes présents à Monaco.
L’Espagnol dit sympathiser avec les amateurs qui, comme lui, ne savent plus quoi penser du débat.
« Quand j’étais chez moi la semaine passée, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que je disputerai peut-être mon dernier Grand Prix de Monaco, » a-t-il ajouté.
Mark Webber, pilote de l’écurie Red Bull Racing, abonde dans le même sens, et ajoute qu’il est inquiet de voir certaines équipes quitter la F1.
Alonso et Kimi Räikköne, ont indiqué que si leurs employeurs quittaient la F1, ils le feraient aussi.
Webber a souligné que « des énormes égos » étaient impliqués dans cette lutte de pouvoir et « qu’il est difficile de parler positivement de la F1 quand nous lavons notre linge sale en public aussi souvent ».
Plusieurs constructeurs automobiles, dont Ferrari et Renault, menacent de quitter la F1 si la FIA impose de force son projet de règlement qui fixera un plafond budgétaire aux équipes dès 2010.
« Selon moi, il est vraiment étrange que personne ne se soit assis et ait songé au tort causé au sport automobile depuis deux mois, » a déclaré Fernando Alonso aux journalistes présents à Monaco.
L’Espagnol dit sympathiser avec les amateurs qui, comme lui, ne savent plus quoi penser du débat.
« Quand j’étais chez moi la semaine passée, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que je disputerai peut-être mon dernier Grand Prix de Monaco, » a-t-il ajouté.
Mark Webber, pilote de l’écurie Red Bull Racing, abonde dans le même sens, et ajoute qu’il est inquiet de voir certaines équipes quitter la F1.
Alonso et Kimi Räikköne, ont indiqué que si leurs employeurs quittaient la F1, ils le feraient aussi.
Webber a souligné que « des énormes égos » étaient impliqués dans cette lutte de pouvoir et « qu’il est difficile de parler positivement de la F1 quand nous lavons notre linge sale en public aussi souvent ».