Les cinq parlementaires de la Nièvre, tous PS, ont écrit mardi à Nicolas Sarkozy et François Fillon pour plaider la cause de Magny-Cours pour les futurs Grands Prix de France de Formule 1.
"Pour la première fois cette année, le Grand Prix de France ne se déroulera pas sur le territoire de notre pays, ni sur le circuit de Nevers-Magny-Cours, qui l'accueillait depuis 1991. Dans la période difficile que connaît la France et, en particulier sa filière automobile, c'est une mauvaise nouvelle, le risque paraît d'autant plus grand désormais que cette compétition prestigieuse reste durablement absente de notre sol", écrivent-ils dans une lettre adressée au président de la République et au Premier ministre et transmise à l'AFP.
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Selon les députés Martine Carrillon-Couvreur, Gaëtan Gorce et Christian Paul et les sénateurs Didier Boulaud et René-Pierre Signé, "la seule solution réaliste consiste à demander que soient examinés sérieusement et loyalement les atouts de la solution nivernaise, Magny-Cours 2".
"Les griefs formulés par les instances internationales de la F1 sont de moins en moins valides et tout donne à penser que la relance du site nivernais coûterait trois à cinq fois moins cher au contribuable, qu'elle aurait un impact réel de développement, au carrefour de trois départements et de trois régions", ajoutent-ils.
"Pour la première fois cette année, le Grand Prix de France ne se déroulera pas sur le territoire de notre pays, ni sur le circuit de Nevers-Magny-Cours, qui l'accueillait depuis 1991. Dans la période difficile que connaît la France et, en particulier sa filière automobile, c'est une mauvaise nouvelle, le risque paraît d'autant plus grand désormais que cette compétition prestigieuse reste durablement absente de notre sol", écrivent-ils dans une lettre adressée au président de la République et au Premier ministre et transmise à l'AFP.
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Selon les députés Martine Carrillon-Couvreur, Gaëtan Gorce et Christian Paul et les sénateurs Didier Boulaud et René-Pierre Signé, "la seule solution réaliste consiste à demander que soient examinés sérieusement et loyalement les atouts de la solution nivernaise, Magny-Cours 2".
"Les griefs formulés par les instances internationales de la F1 sont de moins en moins valides et tout donne à penser que la relance du site nivernais coûterait trois à cinq fois moins cher au contribuable, qu'elle aurait un impact réel de développement, au carrefour de trois départements et de trois régions", ajoutent-ils.