Luca di Montezemolo, président de l'association des équipes de F1 (FOTA), a eu des propos désobligeants envers Max Mosley dans la presse italienne, notamment en le comparant à un dictateur.
En lisant cela, le sang de Max Mosley n'a fait qu'un tour. Il a donc exigé une rectification immédiate de ces propos qu'il juge insultants. Le président de la FIA dément aussi la rumeur qui affirme qu'il laissera Michel Boeri diriger la FIA d'ici les prochaines élections d'octobre.
"Une partie fondamentale de cet accord stipulait que dès à présent les deux parties allaient avoir l'une pour l'autre un comportement positif et sincère. Vous avez pourtant affirmé que j'étais un dictateur, ce qui est une accusation grossière et insultante," déclare Max Mosley dans son courrier à Luca di Montezemolo.
"Si vous avez envie que notre accord ait une chance de survie, vous et la FOTA devez immédiatement rectifier votre comportement. Vous devez corriger les faux propos que vous avez tenus et ne plus faire de telles déclarations," poursuit le président de la FIA.
Max Mosley précise encore qu'en laissant entendre que Michel Boeri allait diriger la FIA jusqu'aux prochaines élections du mois d'octobre, la FOTA avait délibérément trompé les médias.
"Je reste à mon poste avec les pleins pouvoirs jusqu'au mois d'octobre," précise Mosley qui ajoute que désormais il garde toutes les options ouvertes, ce qui sous-entend qu'il pourrait une fois de plus revenir sur sa parole de ne pas briguer un nouveau mandat de président de la FIA.
Luca di Montezemolo et la FOTA ont bien compris la menace et mesuré l'ampleur de la colère présidentielle. La FOTA s'est donc à son tour fendu d'un communiqué dans lequel elle précise quelque peu ses propos, mais sans que Montezemolo s'excuse...
Concernant le supposé départ prématuré de Mosley, Montezemolo déclare: "Il avait dit qu'il comptait se retirer il y a quelque temps déjà et les personnes qui travaillent avec lui sont au courant. Etant donné qu'il est sur le départ, je me dois de le remercier, car en dehors du fait qu'il y a quelques sujets qui nous opposent, il a très bien travaillé, notamment sur tout ce qui concerne la sécurité."
Luca di Montezemolo aurait aussi envoyé une lettre plus personnelle à Max Mosley dans laquelle il lui dirait que ses propos ont été déformés par une partie des médias...
En lisant cela, le sang de Max Mosley n'a fait qu'un tour. Il a donc exigé une rectification immédiate de ces propos qu'il juge insultants. Le président de la FIA dément aussi la rumeur qui affirme qu'il laissera Michel Boeri diriger la FIA d'ici les prochaines élections d'octobre.
"Une partie fondamentale de cet accord stipulait que dès à présent les deux parties allaient avoir l'une pour l'autre un comportement positif et sincère. Vous avez pourtant affirmé que j'étais un dictateur, ce qui est une accusation grossière et insultante," déclare Max Mosley dans son courrier à Luca di Montezemolo.
"Si vous avez envie que notre accord ait une chance de survie, vous et la FOTA devez immédiatement rectifier votre comportement. Vous devez corriger les faux propos que vous avez tenus et ne plus faire de telles déclarations," poursuit le président de la FIA.
Max Mosley précise encore qu'en laissant entendre que Michel Boeri allait diriger la FIA jusqu'aux prochaines élections du mois d'octobre, la FOTA avait délibérément trompé les médias.
"Je reste à mon poste avec les pleins pouvoirs jusqu'au mois d'octobre," précise Mosley qui ajoute que désormais il garde toutes les options ouvertes, ce qui sous-entend qu'il pourrait une fois de plus revenir sur sa parole de ne pas briguer un nouveau mandat de président de la FIA.
Luca di Montezemolo et la FOTA ont bien compris la menace et mesuré l'ampleur de la colère présidentielle. La FOTA s'est donc à son tour fendu d'un communiqué dans lequel elle précise quelque peu ses propos, mais sans que Montezemolo s'excuse...
Concernant le supposé départ prématuré de Mosley, Montezemolo déclare: "Il avait dit qu'il comptait se retirer il y a quelque temps déjà et les personnes qui travaillent avec lui sont au courant. Etant donné qu'il est sur le départ, je me dois de le remercier, car en dehors du fait qu'il y a quelques sujets qui nous opposent, il a très bien travaillé, notamment sur tout ce qui concerne la sécurité."
Luca di Montezemolo aurait aussi envoyé une lettre plus personnelle à Max Mosley dans laquelle il lui dirait que ses propos ont été déformés par une partie des médias...