Un ciel gris, chargé de gros nuages, et quelques traces d’humidité subsistaient sur le circuit d’Interlagos pour le début de la première journée d’essais libres du Grand Prix du Brésil. Du côté des températures, le thermomètre affichait 19° dans l’air, 21° sur la piste.
Dès le feu vert allumé, plusieurs pilotes s’élançaient pour un tour de contrôle – Heidfeld et Kubica en effectuait deux. Jenson Button se lançait immédiatement dans la comparaison des ailerons avant apportés par l’équipe Brawn GP au Brésil.
Buemi et Alguersuari - avec leurs Toro Rosso – étaient les premiers à boucler une série de tours chronométrés. Pendant que Jaime apprenait les particularités du circuit, Sébastien abaissait régulièrement ses temps de passage - jusqu’à fixer le chrono de référence à 1’14.091 à l’issue du premier quart d’heure.
Malgré quelques gouttes, l’activité en piste augmentait sensiblement après 20 minutes. Raikkonen – 1’14.021 - succédait à Buemi en tête de la hiérarchie. Webber était le premier à passer sous la barre des 1’14 – mais l’Australien voyait immédiatement Hamilton lui chiper la première place.
Lewis enfonçait le clou dès le tour suivant – 1’13.187 – assez pour résister à la réplique de Mark qui échouait à 2 millièmes de son rival britannique. Button, Barrichello et Vettel complétaient le Top 5 à moins d’une demi seconde du pilote de la McLaren n°1 !
La pluie s’intensifiait imperceptiblement, ce qui provoquait quelques frayeurs à Kobayashi – titulaire chez Toyota – ainsi qu’à Nico Rosberg et Fernando Alonso.
Sebastian Vettel passait la vitesse supérieure – 1’12.821 – juste avant qu’une averse s’abatte sur l’Autódromo José Carlos Pace. Une ondée heureusement de courte durée !
Peu avant la fin de la première heure, Heikki Kovalainen était le premier à ressortir des stands avec un train de pneus lisses. Certaines portions restaient piégeuses, comme Romain Grosjean en faisait l’expérience. Un passage hors piste sans dommage pour le pilote et la voiture – mais pas pour un panneau de polystyrène, qui explosait en milles morceaux.
Un incident qui obligeait la direction de courses à brandir les drapeaux rouges afin que la piste puisse être nettoyée. La séance était relancée pour une vingtaine de minutes… avec l’ensemble des pilotes en piste – excepté Liuzzi.
A l’entame du dernier quart d’heure, Mark Webber reprenait les commandes – 1’12.805 – ce qui reléguait Vettel à un dixième et Hamilton à deux longueurs.
Surpris par le ralentissement d’une Force India juste devant lui, Sébastien Buemi perdait soudain le rôle de sa monoplace et terminait son embardée dans les piles de pneus. Un choc qui endommageait le train arrière de la Toro Rosso.
Webber et sa Red Bull équipée de pneus tendres amélioraient encore le temps de référence dans les 5 dernières minutes – 1'12.463 - et plus personne ne sera en mesure de rivaliser avec la performance de l’Australien.
Barrichello – deuxième à 4 dixièmes – devance Vettel de 32 millièmes. Les McLaren de Kovalainen et Hamilton complètent le Top 5 à plus de 5 longueurs de Webber.
Dès le feu vert allumé, plusieurs pilotes s’élançaient pour un tour de contrôle – Heidfeld et Kubica en effectuait deux. Jenson Button se lançait immédiatement dans la comparaison des ailerons avant apportés par l’équipe Brawn GP au Brésil.
Buemi et Alguersuari - avec leurs Toro Rosso – étaient les premiers à boucler une série de tours chronométrés. Pendant que Jaime apprenait les particularités du circuit, Sébastien abaissait régulièrement ses temps de passage - jusqu’à fixer le chrono de référence à 1’14.091 à l’issue du premier quart d’heure.
Malgré quelques gouttes, l’activité en piste augmentait sensiblement après 20 minutes. Raikkonen – 1’14.021 - succédait à Buemi en tête de la hiérarchie. Webber était le premier à passer sous la barre des 1’14 – mais l’Australien voyait immédiatement Hamilton lui chiper la première place.
Lewis enfonçait le clou dès le tour suivant – 1’13.187 – assez pour résister à la réplique de Mark qui échouait à 2 millièmes de son rival britannique. Button, Barrichello et Vettel complétaient le Top 5 à moins d’une demi seconde du pilote de la McLaren n°1 !
La pluie s’intensifiait imperceptiblement, ce qui provoquait quelques frayeurs à Kobayashi – titulaire chez Toyota – ainsi qu’à Nico Rosberg et Fernando Alonso.
Sebastian Vettel passait la vitesse supérieure – 1’12.821 – juste avant qu’une averse s’abatte sur l’Autódromo José Carlos Pace. Une ondée heureusement de courte durée !
Peu avant la fin de la première heure, Heikki Kovalainen était le premier à ressortir des stands avec un train de pneus lisses. Certaines portions restaient piégeuses, comme Romain Grosjean en faisait l’expérience. Un passage hors piste sans dommage pour le pilote et la voiture – mais pas pour un panneau de polystyrène, qui explosait en milles morceaux.
Un incident qui obligeait la direction de courses à brandir les drapeaux rouges afin que la piste puisse être nettoyée. La séance était relancée pour une vingtaine de minutes… avec l’ensemble des pilotes en piste – excepté Liuzzi.
A l’entame du dernier quart d’heure, Mark Webber reprenait les commandes – 1’12.805 – ce qui reléguait Vettel à un dixième et Hamilton à deux longueurs.
Surpris par le ralentissement d’une Force India juste devant lui, Sébastien Buemi perdait soudain le rôle de sa monoplace et terminait son embardée dans les piles de pneus. Un choc qui endommageait le train arrière de la Toro Rosso.
Webber et sa Red Bull équipée de pneus tendres amélioraient encore le temps de référence dans les 5 dernières minutes – 1'12.463 - et plus personne ne sera en mesure de rivaliser avec la performance de l’Australien.
Barrichello – deuxième à 4 dixièmes – devance Vettel de 32 millièmes. Les McLaren de Kovalainen et Hamilton complètent le Top 5 à plus de 5 longueurs de Webber.