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Dans un communiqué publié à la suite des informations parues dans le Journal du dimanche, Flavio Briatore "confirme qu'il engagera demain (lundi), devant le Tribunal de grande instance de Paris, une action contre la décision prononcée le 21 septembre".
"Dans cette affaire, la FIA a été mise au service de la vengeance d'un seul homme", déclare l'ancien patron de Renault, dans une allusion à Max Mosley, le président de la FIA. "Cette décision est une aberration juridique et j'ai toute confiance dans les tribunaux français pour rendre une justice impartiale."
Flavio Briatore, qui avait mené une fronde contre M. Mosley au printemps 2009, estime que le juge n'était pas impartial.
En outre, le communiqué dénonce la "violation délibérée des droits de la défense", qui n'aurait pas été informée des charges et n'aurait pas eu accès au dossier. Enfin, la sanction serait illégale en raison de sa durée illimitée.
Il réclame également des dommages et intérêts, estimés par le JDD entre 500.000 et un million d'euros.
Le 21 septembre, Flavio Briatore avait été suspendu à vie par le Conseil de la FIA alors que l'ex-ingénieur en chef Pat Symonds l'a été pour cinq ans après l'affaire du "Crashgate".
En 2008, le Brésilien Nelson Piquet Jr. avait provoqué un accident volontaire au Grand Prix de Singapour, selon lui à la demande de dirigeants de l'écurie Renault afin de favoriser le succès de son coéquipier Fernando Alonso.
Renault sera exclue définitivement de la F1 en cas de récidive dans les deux ans à venir.