Par Toutatis et Bélénos, 50 ans et pas une ride !
Le plus célèbre gaulois de la bande dessinée fête aujourd’hui ses 50 ans.
Les aventures d’Asterix et de son fidèle compère Obélix ont vu le jour, non pas en 50 avant JC,…., mais le 29 octobre 1959.
Et en 50 ans, que de parcours pour ce petit héros moustachu, pas moins de 34 albums parus, dans 107 langues, avec plus de 325 millions d’albums vendus à travers le monde (un rêve inabordable aujourd’hui pour un éditeur).
C’est donc sous la plume de Goscinny, accompagné du crayon et pinceau d’Uderzo que naît Asterix. Sa première parution sera dans le magazine « Pilote ». Deux ans plus tard, le premier album apparaît dans les bacs des libraires. « Asterix le gaulois » est publié à 6.000 exemplaires. Et à partir de la, la mécanique gauloise s’emballe.
C’est le succès fou.
En 1966, le journal « L’Express » titre déjà : Le Phénomène Asterix ».
Astérix devient le symbole de la fierté retrouvée, du petit qui refuse de se soumettre et résiste aux puissants.
Dès 1967, chaque album est tiré à 1 million d’exemplaires. Où va s’arrêter la folie « Asterix ».
On y a bien cru un matin de novembre 1977, ou l’annonce du décès inattendu de Goscinny, fait l’effet d’une bombe.
Ni une, ni deux, Uderzo, remet sur les rails notre héros moustachu. Il décide de reprendre le flambeau tout seul à la fois au dessin et au scénario.
La machine est bien huilée, il faut battre le fer tant qu’il est chaud (c’est-ce pas Cétautomatix).
A ce jour, 34 albums ont vu le jour. On pourrait penser que « Asterix » ne survivrait pas à Uderzo,…, et bien non, celui-ci a décidé que la saga gauloise devra survivre à ses auteurs.
Déjà, deux noms circulent sur la toile comme étant les successeurs d’Uderzo : Frédéric et Thierry Mébarki. Ceux-ci travaillent déjà depuis un quart de siècle pour le célèbre gaulois.
Asterix, ce n’est pas que de la BD, c’est un empire économique à lui seul.
Dessins animés, films, produits dérivés en tout genre,…, il ne se passe pas une année sans voir des gaulois surgir soit d’un magasin de jouets, soit d’une confiserie chocolatée en forme d’œuf (N.B. : N’ayant pas reçu de subside de la société K…ER, je ne mettrai pas son nom ;o))))).
Asterix a également connu son lot de rebondissement judiciaire aussi bien éditorial que familial, mais je pense que pour ce jour d’anniversaire, laissons les mauvais côté des affaires en dehors de cette nouvelle.
Bref, un très joyeux anniversaire à toi Asterix, ainsi que Obelix, Idefix, Panoramix, Cétautomatix, Assurancetourix,………..et blablablabla,………… Oups j’allais oublié César, Caius Bonus,…………
