Malgré la prise de contrôle de l'équipe Brawn par Mercedes, Jenson Button pourrait néanmoins quitter son équipe pour signer chez McLaren. C'est ce que nous apprend aujourd'hui le journal britannique The Guardian.
Le journal britannique affirme en effet que Jenson Button serait sur le point de signer un contrat de trois ans avec McLaren. Ce contrat assurerait un salaire d'un peu moins de 7 millions d'euros par an.
"La seule chose que nous ne voulons pas, c'est que Jenson reste dans l'expectative," - déclare Richard Goddard, le manager du nouveau champion du monde.
Nick Fry, bras droit de Ross Brawn, espère toutefois que Jenson Button restera chez Brawn en 2010. Mais il ne compte pas faire des folies financières pour le garder.
"Nous avons eu des discussions avec Jenson à propos de son salaire que nous considérons comme raisonnable et vous savez, le rachat de notre équipe par Mercedes ne change rien à cet aspect des choses. J'espère que Jenson sera toujours avec nous l'année prochaine, mais il nous faut prendre conscience que le petit monde de la F1 ne s'est pas détaché du reste du monde," déclarait Nick Fry, hier à la BBC
"La raison pour laquelle nous avons survécu en tant qu'équipe, c'est parce que nous avons eu une approche prudente, selon nos moyens financiers," ajoute Fry.
Le journal britannique affirme en effet que Jenson Button serait sur le point de signer un contrat de trois ans avec McLaren. Ce contrat assurerait un salaire d'un peu moins de 7 millions d'euros par an.
"La seule chose que nous ne voulons pas, c'est que Jenson reste dans l'expectative," - déclare Richard Goddard, le manager du nouveau champion du monde.
Nick Fry, bras droit de Ross Brawn, espère toutefois que Jenson Button restera chez Brawn en 2010. Mais il ne compte pas faire des folies financières pour le garder.
"Nous avons eu des discussions avec Jenson à propos de son salaire que nous considérons comme raisonnable et vous savez, le rachat de notre équipe par Mercedes ne change rien à cet aspect des choses. J'espère que Jenson sera toujours avec nous l'année prochaine, mais il nous faut prendre conscience que le petit monde de la F1 ne s'est pas détaché du reste du monde," déclarait Nick Fry, hier à la BBC
"La raison pour laquelle nous avons survécu en tant qu'équipe, c'est parce que nous avons eu une approche prudente, selon nos moyens financiers," ajoute Fry.