Ce mardi, sur le Paul Ricard HTTT, avait lieu la présentation officielle aux équipes et à la presse de la nouvelle discipline GP3 Series.
Ce nouveau championnat se courra sur sept manches lors des Grands Prix européens de Formule 1 et de GP2, sauf pour les manches d’Istanbul et Monaco. Une manche aura également lieu en accompagnement du GP2 uniquement.
Les premières voitures, équipées de leur moteur Renault 2L de 280 chevaux issus de la Mégane RS, seront livrées le 15 janvier aux équipes. Chaque écurie engagera trois voitures pendant la saison pour un coût d’exploitation estimé entre 600.000 et 700.000 euros par voiture et par saison. Les deuxième et troisième voitures seront livrées fin janvier et mi-février.
Les équipes se rendront ensuite aux premiers tests collectifs, qui se dérouleront sur le circuit du Paul Ricard HTTT, les 3 et 4 mars, puis le 31 mars et le 1er avril. La dernière séance collective aura lieu sur le circuit de Barcelone, qui sera le théâtre de la première manche de la saison, les 13 et 14 avril.
Mark Webber, qui engagera une équipe dans cette discipline aux côtés de Christian Horner, team principal de Red Bull Racing, était présent pour faire quelques tours au volant de cette nouvelle monoplace.
A sa sortie de la voiture, il a déclaré à ToileF1 : "C’est une très bonne voiture, comme une Formule 1 miniature. Il reste quelques petits développements à faire pour peaufiner, mais je pense qu’avec une voiture comme ça, les courses seront très intéressantes. Les voitures pourront être très proches, il y a beaucoup de grip mécanique. Les pilotes vont beaucoup aimer cette catégorie."
"Le style de pilotage de cette voiture se rapproche grandement de celui d’une GP2, qui est l’évolution logique pour tout pilote passant par la GP3," ont ajouté les organisateurs de la série.
"La voiture est plus rapide de 2 à 4 secondes, dépendamment du circuit, qu’une F3. L’optimisation des coûts d’exploitation a été l’objectif principal, avec la réduction des appendices aérodynamiques qui permettront ainsi de diminuer le coût des pièces lors d’un accident, une boîte de vitesses surdimensionné pouvant tenir plus de 4.000 km avec les trois premiers rapports."
La gestion des pneus sera également un atout majeur de cette discipline, comme ce qu’ils connaîtront en GP2 puis en Formule 1. Les pilotes auront un nombre limité de pneus, avec une composition choisie par le manufacturier pour assurer leur week-end de course.
Ce nouveau championnat se courra sur sept manches lors des Grands Prix européens de Formule 1 et de GP2, sauf pour les manches d’Istanbul et Monaco. Une manche aura également lieu en accompagnement du GP2 uniquement.
Les premières voitures, équipées de leur moteur Renault 2L de 280 chevaux issus de la Mégane RS, seront livrées le 15 janvier aux équipes. Chaque écurie engagera trois voitures pendant la saison pour un coût d’exploitation estimé entre 600.000 et 700.000 euros par voiture et par saison. Les deuxième et troisième voitures seront livrées fin janvier et mi-février.
Les équipes se rendront ensuite aux premiers tests collectifs, qui se dérouleront sur le circuit du Paul Ricard HTTT, les 3 et 4 mars, puis le 31 mars et le 1er avril. La dernière séance collective aura lieu sur le circuit de Barcelone, qui sera le théâtre de la première manche de la saison, les 13 et 14 avril.
Mark Webber, qui engagera une équipe dans cette discipline aux côtés de Christian Horner, team principal de Red Bull Racing, était présent pour faire quelques tours au volant de cette nouvelle monoplace.
A sa sortie de la voiture, il a déclaré à ToileF1 : "C’est une très bonne voiture, comme une Formule 1 miniature. Il reste quelques petits développements à faire pour peaufiner, mais je pense qu’avec une voiture comme ça, les courses seront très intéressantes. Les voitures pourront être très proches, il y a beaucoup de grip mécanique. Les pilotes vont beaucoup aimer cette catégorie."
"Le style de pilotage de cette voiture se rapproche grandement de celui d’une GP2, qui est l’évolution logique pour tout pilote passant par la GP3," ont ajouté les organisateurs de la série.
"La voiture est plus rapide de 2 à 4 secondes, dépendamment du circuit, qu’une F3. L’optimisation des coûts d’exploitation a été l’objectif principal, avec la réduction des appendices aérodynamiques qui permettront ainsi de diminuer le coût des pièces lors d’un accident, une boîte de vitesses surdimensionné pouvant tenir plus de 4.000 km avec les trois premiers rapports."
La gestion des pneus sera également un atout majeur de cette discipline, comme ce qu’ils connaîtront en GP2 puis en Formule 1. Les pilotes auront un nombre limité de pneus, avec une composition choisie par le manufacturier pour assurer leur week-end de course.