L'allemand Nico Rosberg a été le premier pilote Mercedes à prendre le volant de la MGP W01 présentée ce matin dans les stands de Valence. Peu de temps après, il prenait la piste et complétait une quarantaine de tours aux commandes de son nouveau bolide.
Les premières impressions sont bonnes et tous les systèmes ont bien fonctionné, mais il est évidemment difficile de juger les forces de la monoplace vis-à-vis celles de la compétition travaillant également sur le même circuit.
"C'était très bon, mais c'est difficile de comparer car il y a tant de choses différentes avec le carburant, les pneus, et les niveaux de carburant que vous utilisez pendant les essais, et en plus, nous n'avons pas roulé sur ce circuit depuis un bout de temps," expliquait Rosberg à la mi-journée. "Alors c'est très difficile de comparer."
Vu la capacité doublée des nouveau réservoirs, ce jeu de la comparaison se complique davantage : "Avant, pendant les essais, tout le monde avait 50 ou 60kg [de carburant], mais maintenant vous ne pouvez pas savoir ce que les autres font. C'est très difficile de se faire une bonne impression initiale."
Sur le sujet des comparaisons, il y a une règle bien connue en sport automobile : un pilote est toujours comparé à son coéquipier. Dans le cas de Rosberg, il devra faire face à l'expérience de Michael Schumacher.
"Pour moi, c'est une bonne chose de l'avoir ici. C'est fantastique et je dois dire que ça m'a donné un petit extra de motivation. Juste une petite touche d'extra," a déclaré Rosberg. "Il y aura certains trucs que je pourrai apprendre de lui car il est évidemment un des meilleurs qui ait jamais piloté."
Le pilote Mercedes ajoute que les relations sont généralement bonnes avec son compatriote, mais on ne ressent pas encore la grande fraternité... "Je m'entends bien avec lui pour l'instant. Il me respecte et je le respecte, alors c'est bien. Je crois que l'on peut bien s'entendre et être de bons coéquipiers."
Schumacher sera au volant cet après-midi, question de démontrer un traitement égal entre les pilotes Mercedes. Rosberg aura une journée complète avec la voiture mardi, même chose pour Schumacher mercredi.
Les premières impressions sont bonnes et tous les systèmes ont bien fonctionné, mais il est évidemment difficile de juger les forces de la monoplace vis-à-vis celles de la compétition travaillant également sur le même circuit.
"C'était très bon, mais c'est difficile de comparer car il y a tant de choses différentes avec le carburant, les pneus, et les niveaux de carburant que vous utilisez pendant les essais, et en plus, nous n'avons pas roulé sur ce circuit depuis un bout de temps," expliquait Rosberg à la mi-journée. "Alors c'est très difficile de comparer."
Vu la capacité doublée des nouveau réservoirs, ce jeu de la comparaison se complique davantage : "Avant, pendant les essais, tout le monde avait 50 ou 60kg [de carburant], mais maintenant vous ne pouvez pas savoir ce que les autres font. C'est très difficile de se faire une bonne impression initiale."
Sur le sujet des comparaisons, il y a une règle bien connue en sport automobile : un pilote est toujours comparé à son coéquipier. Dans le cas de Rosberg, il devra faire face à l'expérience de Michael Schumacher.
"Pour moi, c'est une bonne chose de l'avoir ici. C'est fantastique et je dois dire que ça m'a donné un petit extra de motivation. Juste une petite touche d'extra," a déclaré Rosberg. "Il y aura certains trucs que je pourrai apprendre de lui car il est évidemment un des meilleurs qui ait jamais piloté."
Le pilote Mercedes ajoute que les relations sont généralement bonnes avec son compatriote, mais on ne ressent pas encore la grande fraternité... "Je m'entends bien avec lui pour l'instant. Il me respecte et je le respecte, alors c'est bien. Je crois que l'on peut bien s'entendre et être de bons coéquipiers."
Schumacher sera au volant cet après-midi, question de démontrer un traitement égal entre les pilotes Mercedes. Rosberg aura une journée complète avec la voiture mardi, même chose pour Schumacher mercredi.