C’est notamment ce que pense Christian Horner, le directeur général de l’équipe autrichienne.
Car il faut bien reconnaître que si Sebastian Vettel et Mark Webber n’ont pas su profiter de leur première et deuxième position sur la grille de départ, c’est en partie pour des raisons stratégiques.
Et justement, la stratégie était un facteur extrêmement important dans des conditions météorologiques très changeantes telles que celles qu’il y a eu hier à Shanghai.
Or, si la météo avait été clémente, on peut légitimement imaginer que les pilotes Red Bull se seraient rapidement envolés, étant donnée la compétitivité de la RB6.
"Ce fut loin d’être une course facile dans ces conditions très difficiles, et les sixième et huitième places offrent toujours des points très précieux. C’est tout simplement frustrant bien sûr car avec une course simple sur le sec, je ne crois pas que la concurrence nous aurait vu," a confié Horner.
Au lendemain du Grand Prix de Chine, on peut d’ores-et-déjà affirmer que Red Bull possède actuellement la monoplace la plus performante du plateau, que ce soit en qualifications ou en course.
Pourtant, l’équipe de Dietrich Mateschitz n’a décroché qu’une victoire et n’est que troisième au championnat des constructeurs, à 36 points de McLaren. Inutile de préciser que Red Bull a raté plusieurs opportunités, la faute entre autres à un manque évident de fiabilité. Mais Horner ne s’apitoie pas sur son sort et préfère positiver.
"Nous savons que nous avons une voiture rapide. Je pense que dans des conditions comme en Chine, il ne s’agit pas seulement de stratégie, il y a un degré de chance aussi. Et quand vous partez septième ou huitième, vous avez moins à perdre et plus à gagner."
"Nous retournons en Europe en étant allés à quatre endroits très différents, en étant partis deux fois premier et deuxième et une fois premier et troisième," rappelle le Britannique avant d’ajouter : "Donc je pense qu’il y a énormément de points positifs."
"Comme vous l’avez vu avec Ferrari, ils n’ont pas marqué de gros points ici non plus. Donc je pense qu’il est naturel qu’il y ait des rebondissements dans ce championnat. Ici, ça n’avait rien à voir avec la stratégie ou ce qui est d’être opérationnel."
"Je pense qu’il n’y a pas de problème au niveau de la communication entre les ingénieurs et les pilotes car à la fin de la journée, ils ont pris les mêmes décisions que Lewis Hamilton," conclut-il
Car il faut bien reconnaître que si Sebastian Vettel et Mark Webber n’ont pas su profiter de leur première et deuxième position sur la grille de départ, c’est en partie pour des raisons stratégiques.
Et justement, la stratégie était un facteur extrêmement important dans des conditions météorologiques très changeantes telles que celles qu’il y a eu hier à Shanghai.
Or, si la météo avait été clémente, on peut légitimement imaginer que les pilotes Red Bull se seraient rapidement envolés, étant donnée la compétitivité de la RB6.
"Ce fut loin d’être une course facile dans ces conditions très difficiles, et les sixième et huitième places offrent toujours des points très précieux. C’est tout simplement frustrant bien sûr car avec une course simple sur le sec, je ne crois pas que la concurrence nous aurait vu," a confié Horner.
Au lendemain du Grand Prix de Chine, on peut d’ores-et-déjà affirmer que Red Bull possède actuellement la monoplace la plus performante du plateau, que ce soit en qualifications ou en course.
Pourtant, l’équipe de Dietrich Mateschitz n’a décroché qu’une victoire et n’est que troisième au championnat des constructeurs, à 36 points de McLaren. Inutile de préciser que Red Bull a raté plusieurs opportunités, la faute entre autres à un manque évident de fiabilité. Mais Horner ne s’apitoie pas sur son sort et préfère positiver.
"Nous savons que nous avons une voiture rapide. Je pense que dans des conditions comme en Chine, il ne s’agit pas seulement de stratégie, il y a un degré de chance aussi. Et quand vous partez septième ou huitième, vous avez moins à perdre et plus à gagner."
"Nous retournons en Europe en étant allés à quatre endroits très différents, en étant partis deux fois premier et deuxième et une fois premier et troisième," rappelle le Britannique avant d’ajouter : "Donc je pense qu’il y a énormément de points positifs."
"Comme vous l’avez vu avec Ferrari, ils n’ont pas marqué de gros points ici non plus. Donc je pense qu’il est naturel qu’il y ait des rebondissements dans ce championnat. Ici, ça n’avait rien à voir avec la stratégie ou ce qui est d’être opérationnel."
"Je pense qu’il n’y a pas de problème au niveau de la communication entre les ingénieurs et les pilotes car à la fin de la journée, ils ont pris les mêmes décisions que Lewis Hamilton," conclut-il