Ces dernières années, les décisions des commissaires de course ont souvent été contestées. En 2008, après le Grand Prix de Belgique, Lewis Hamilton avait critiqué la décision de le déclasser après une bataille avec Kimi Raikkonen. Une bagarre jugée déloyale qui l'avait privé de la victoire suite à une pénalité de 25 secondes infligée par les commissaires.
Depuis le début de l'année, un ancien pilote endosse le rôle de 4e commissaire. Alain Prost avait ouvert le bal à Bahreïn, avant Tom Kristensen, le recordman de victoires aux 24 heures du Mans, en Australie, Johnny Herbert en Malaisie et Alexander Wurz en Chine. Une initiative prise par le nouveau président de la FIA, Jean Todt. L'objectif était d'harmoniser les décisions et de les rendre plus conformes à la situation.
L'initiative est saluée à la fois par les commissaires d'un jour, mais aussi par les pilotes eux-mêmes. "C'est un rôle avec beaucoup de responsabilités. Nous, les pilotes, pouvons mieux comprendre certaines situations. Et les trois autres connaissent mieux les textes, les réglements", reconnaît Tom Kristensen, en louant la complémentarité entre les quatre commissaires. Nico Hulkenberg, le pilote allemand de Williams, estime que cette nouveauté apporte un véritable plus à la course. "C'est très positif. Un commissaire ne peut pas toujours comprendre notre point de vue. Un ancien pilote sait de quoi il parle."
Même Lewis Hamilton, qui a déjà été réprimandé deux fois cette saison, partage cet avis. "Je pense que les décisions prises cette année par les commissaires de course sont plus cohérentes. Nous n'avons plus peur de nous livrer dans une bataille avec un autre pilote sans craindre une pénalité. Les commissaires font un travail fantastique. Cela contribue à la qualité des courses de cette saison."
Les prochains anciens pilotes à devenir néo-commissaire seront Derek Warwick à Barcelone, Damon Hill à Monaco, Emerson Fittipaldi à Montréal et Nigel Mansell à Silverstone.
Depuis le début de l'année, un ancien pilote endosse le rôle de 4e commissaire. Alain Prost avait ouvert le bal à Bahreïn, avant Tom Kristensen, le recordman de victoires aux 24 heures du Mans, en Australie, Johnny Herbert en Malaisie et Alexander Wurz en Chine. Une initiative prise par le nouveau président de la FIA, Jean Todt. L'objectif était d'harmoniser les décisions et de les rendre plus conformes à la situation.
L'initiative est saluée à la fois par les commissaires d'un jour, mais aussi par les pilotes eux-mêmes. "C'est un rôle avec beaucoup de responsabilités. Nous, les pilotes, pouvons mieux comprendre certaines situations. Et les trois autres connaissent mieux les textes, les réglements", reconnaît Tom Kristensen, en louant la complémentarité entre les quatre commissaires. Nico Hulkenberg, le pilote allemand de Williams, estime que cette nouveauté apporte un véritable plus à la course. "C'est très positif. Un commissaire ne peut pas toujours comprendre notre point de vue. Un ancien pilote sait de quoi il parle."
Même Lewis Hamilton, qui a déjà été réprimandé deux fois cette saison, partage cet avis. "Je pense que les décisions prises cette année par les commissaires de course sont plus cohérentes. Nous n'avons plus peur de nous livrer dans une bataille avec un autre pilote sans craindre une pénalité. Les commissaires font un travail fantastique. Cela contribue à la qualité des courses de cette saison."
Les prochains anciens pilotes à devenir néo-commissaire seront Derek Warwick à Barcelone, Damon Hill à Monaco, Emerson Fittipaldi à Montréal et Nigel Mansell à Silverstone.