Damon Hill n'est plus tout à fait sûr de l'intérêt que revêtir le fait d'avoir d'anciens pilotes parmi les commissaires, après qu'il a officié lors du Grand Prix de Monaco, ce week-end.
Le champion du monde 1996 a fait douloureusement connaissance avec les délices de l'arbitrage à très haut niveau en confessant avec reçu des "messages haineux" depuis que lui et ses collègues ont infligé une pénalité de 20" à Michael Schumacher pour avoir doublé Fernando Alonso sous régime de Safety Car.
Les prestations d'Alain Prost, Alex Wurz, Derek Warwick et Johnny Herbert, qui l'ont précédé dans la salle des commissaires lors des autres Grands Prix 2010, ont pourtant reçu un bon accueil. D'une manière générale, la mesure mise en place sous la présidence de Jean Todt a été saluée.
Hill a affirmé que Schumacher avait "un sourire désabusé et ironique" en entrant dans la pièce où se trouvaient les commissaires, après l'incident.
"Je n'étais pas très à l'aise d'être un représentant de la FIA. Ma compétence est plus celle d'un pilote que d'un juriste", a déclaré Hill. "Cet embarras est en partie venu du fait que j'ai dû prendre une décision sur un incident impliquant Michael. Je sais que la plupart des gens vont me croire quand je dis que j'ai agi de manière juste. Mais peut-être qu'il serait mieux pour les anciens pilotes d'être seulement des consultants auprès des commissaires, plutôt que des commissaires à part entière."
"Je connais Damon, c'est un bon gars", avait déclaré Schumacher avant que le verdict de sa sanction tombe.
Il faut bien entendu rappeler qu'en 1994, Schumacher, dans une manœuvre décriée depuis, a fait perdre un Championnat pour un point à Hill.
Le champion du monde 1996 a fait douloureusement connaissance avec les délices de l'arbitrage à très haut niveau en confessant avec reçu des "messages haineux" depuis que lui et ses collègues ont infligé une pénalité de 20" à Michael Schumacher pour avoir doublé Fernando Alonso sous régime de Safety Car.
Les prestations d'Alain Prost, Alex Wurz, Derek Warwick et Johnny Herbert, qui l'ont précédé dans la salle des commissaires lors des autres Grands Prix 2010, ont pourtant reçu un bon accueil. D'une manière générale, la mesure mise en place sous la présidence de Jean Todt a été saluée.
Hill a affirmé que Schumacher avait "un sourire désabusé et ironique" en entrant dans la pièce où se trouvaient les commissaires, après l'incident.
"Je n'étais pas très à l'aise d'être un représentant de la FIA. Ma compétence est plus celle d'un pilote que d'un juriste", a déclaré Hill. "Cet embarras est en partie venu du fait que j'ai dû prendre une décision sur un incident impliquant Michael. Je sais que la plupart des gens vont me croire quand je dis que j'ai agi de manière juste. Mais peut-être qu'il serait mieux pour les anciens pilotes d'être seulement des consultants auprès des commissaires, plutôt que des commissaires à part entière."
"Je connais Damon, c'est un bon gars", avait déclaré Schumacher avant que le verdict de sa sanction tombe.
Il faut bien entendu rappeler qu'en 1994, Schumacher, dans une manœuvre décriée depuis, a fait perdre un Championnat pour un point à Hill.