Le directeur technique de l'écurie Lotus, Mike Gascoyne, affirme que Heikki Kovalainen était dans son droit lorsqu'il s'est défendu contre l'attaque de Mark Webber pendant le GP d'Europe.
Webber, qui tentait alors de rapidement remonter le peloton après un mauvais départ, a touché la monoplace de Kovalainen alors que ce dernier freinait. Le contact a projeté la Red Bull de Webber dans les airs ; une culbute plus tard, la voiture de l'Australien se fracassait contre le sol et ensuite dans un mur de pneus. Il raconte l'événement ici.
Sans aileron arrière et fortement endommagée, la Lotus de Kovalainen s'est également arrêtée. Les deux pilotes sont indemnes, mais Webber doute du bien-fondé des manœuvres du Finlandais.
"Ce qui est frustrant, c'est que cet accident n'aurait jamais dû arriver", a commenté Webber. "Vous devez vous battre pour défendre votre place, quelle qu'elle soit, mais pas quand vous êtes cinq secondes au tour plus lent et qu'une des meilleures voitures du plateau se trouve derrière."
"Combien de temps Heikki pensait-il rester devant ? Un autre 15 secondes ? Il doit se demander si ça valait le coup", a-t-il ajouté.
Kovalainen, bien qu'heureux que personne n'ait été blessé, a été catégorique : "Je me battais pour une place avec Mark, alors j'avais l'intention de me défendre. Je n'ai rien fait de mal, il m'a simplement rentré dedans."
Mike Gascoyne soutient le Finlandais ; selon lui, Kovalainen ne faisait que son devoir de pilote. Sur le circuit urbain de Valence, où doubler est très difficile, la rapidité de l'adversaire est un facteur moins important qu'ailleurs.
"Sur ce circuit, vous pouvez vous défendre", le Britannique a expliqué à Autosport. "Si nous l'avions gardé derrière nous pendant 40 tours, super. Si nous avions ruiné sa course, génial !"
"Est-ce qu'une Force India doit laisser passer une McLaren simplement parce qu'elle est plus rapide ? Où doit-on fixer les limites ? Il s'agit d'une course automobile, non ?", continuait Gascoyne. "Je me fous de qui il s'agit. Toutes ces histoires d'équipe de catégorie A, de catégorie B, oubliez ça."
D'après Gascoyne, Kovalainen n'a rien à voir avec l'accident ; l'erreur vient de Webber : "Il l'a tapé à l'arrière. Il pilotait en ligne droite et freinait. Faut-il vraiment se poser la question pour comprendre qui est fautif ?"
Webber, qui tentait alors de rapidement remonter le peloton après un mauvais départ, a touché la monoplace de Kovalainen alors que ce dernier freinait. Le contact a projeté la Red Bull de Webber dans les airs ; une culbute plus tard, la voiture de l'Australien se fracassait contre le sol et ensuite dans un mur de pneus. Il raconte l'événement ici.
Sans aileron arrière et fortement endommagée, la Lotus de Kovalainen s'est également arrêtée. Les deux pilotes sont indemnes, mais Webber doute du bien-fondé des manœuvres du Finlandais.
"Ce qui est frustrant, c'est que cet accident n'aurait jamais dû arriver", a commenté Webber. "Vous devez vous battre pour défendre votre place, quelle qu'elle soit, mais pas quand vous êtes cinq secondes au tour plus lent et qu'une des meilleures voitures du plateau se trouve derrière."
"Combien de temps Heikki pensait-il rester devant ? Un autre 15 secondes ? Il doit se demander si ça valait le coup", a-t-il ajouté.
Kovalainen, bien qu'heureux que personne n'ait été blessé, a été catégorique : "Je me battais pour une place avec Mark, alors j'avais l'intention de me défendre. Je n'ai rien fait de mal, il m'a simplement rentré dedans."
Mike Gascoyne soutient le Finlandais ; selon lui, Kovalainen ne faisait que son devoir de pilote. Sur le circuit urbain de Valence, où doubler est très difficile, la rapidité de l'adversaire est un facteur moins important qu'ailleurs.
"Sur ce circuit, vous pouvez vous défendre", le Britannique a expliqué à Autosport. "Si nous l'avions gardé derrière nous pendant 40 tours, super. Si nous avions ruiné sa course, génial !"
"Est-ce qu'une Force India doit laisser passer une McLaren simplement parce qu'elle est plus rapide ? Où doit-on fixer les limites ? Il s'agit d'une course automobile, non ?", continuait Gascoyne. "Je me fous de qui il s'agit. Toutes ces histoires d'équipe de catégorie A, de catégorie B, oubliez ça."
D'après Gascoyne, Kovalainen n'a rien à voir avec l'accident ; l'erreur vient de Webber : "Il l'a tapé à l'arrière. Il pilotait en ligne droite et freinait. Faut-il vraiment se poser la question pour comprendre qui est fautif ?"