Michael Schumacher a été pénalisé de dix places au classement pour avoir dangereusement serré Rubens Barrichello contre le muret des stands alors que celui le dépassait à la fin du Grand Prix de Hongrie.
Le septuple champion du monde allemand, qui avait terminé 11e de la course, termine donc 19e et dernier, derrière le Japonais Sakon Yamamoto (Hispania), ont décidé les commissaires de course de la FIA après avoir entendu Schumacher et Barrichello.
Les deux pilotes ont cohabité chez Ferrari pendant 6 saisons, entre 2000 et 2005, l'Allemand étant alors clairement favorisé par rapport au Brésilien. Les rapports entre les deux hommes manquent depuis lors sérieusement de cordialité.
Barrichello a déclaré qu'il a vécu son instant le plus dangereux en 17 ans de F1 quand son ancien leader chez Ferrari Michael Schumacher a failli le mettre dans le mur à la fin du Grand Prix de Hongrie.
Schumacher défendait le point de sa 10e place devant la Williams lorsqu'il a obligé le Brésilien a faire un énorme écart dans une manœuvre qui est soumise à l'enquête de la commission de course.
"Sur cette piste, il est très difficile de doubler. Il faut choisir une trajectoire et s'y tenir", a déclaré Barrichello à la BBC Sport. "C'était très juste et j'ai eu de la chance d'éviter le mur. Il n'y a pas de règle pour cela mais entre nous, nous savons où se situe la limite. C'est la chose la plus dangereuse dans laquelle j'ai été impliqué et cela me désole."
Schumacher s'est défendu en disant qu'il a laissé assez de place à Barrichello pour aller de l'autre côté mais qu'il a choisi de rester du même côté. "Il n'y a pas grand-chose à dire. Il avait évidemment de meilleurs pneus", a déclaré Schumacher. "J'ai essayé de me placer au mieux pour le dernier virage. Je devait placer la voiture sur une bande de 5cm et je suis sorti un peu large. J'ai alors repris l'intérieur en lui laissant le reste de la piste. Il ne l'a pas pris alors c'est passé assez juste. On sait que certains pilotes ont certaines idées."
Pour répondre à la réponse de Schumacher, Barrichello s'est contenté de dire qu'il laisait les commissaires et le public juger. "Cela a toujours été de ma faute pendant six ans", a-t-il toutefois ajouté, faisant remonter soudainement l'époque Ferrari. "C'est incroyable mais je vais laisser la parole aux commissaires Il a toujours pensé que j'étais un geignard. J'aimerais bien que le public me dise ce qu'il en pense." Au vu de la popularité de Schumacher, il vaut mieux que Barrichello s'en tienne au verdict des commissaires.
Le septuple champion du monde allemand, qui avait terminé 11e de la course, termine donc 19e et dernier, derrière le Japonais Sakon Yamamoto (Hispania), ont décidé les commissaires de course de la FIA après avoir entendu Schumacher et Barrichello.
Les deux pilotes ont cohabité chez Ferrari pendant 6 saisons, entre 2000 et 2005, l'Allemand étant alors clairement favorisé par rapport au Brésilien. Les rapports entre les deux hommes manquent depuis lors sérieusement de cordialité.
Barrichello a déclaré qu'il a vécu son instant le plus dangereux en 17 ans de F1 quand son ancien leader chez Ferrari Michael Schumacher a failli le mettre dans le mur à la fin du Grand Prix de Hongrie.
Schumacher défendait le point de sa 10e place devant la Williams lorsqu'il a obligé le Brésilien a faire un énorme écart dans une manœuvre qui est soumise à l'enquête de la commission de course.
"Sur cette piste, il est très difficile de doubler. Il faut choisir une trajectoire et s'y tenir", a déclaré Barrichello à la BBC Sport. "C'était très juste et j'ai eu de la chance d'éviter le mur. Il n'y a pas de règle pour cela mais entre nous, nous savons où se situe la limite. C'est la chose la plus dangereuse dans laquelle j'ai été impliqué et cela me désole."
Schumacher s'est défendu en disant qu'il a laissé assez de place à Barrichello pour aller de l'autre côté mais qu'il a choisi de rester du même côté. "Il n'y a pas grand-chose à dire. Il avait évidemment de meilleurs pneus", a déclaré Schumacher. "J'ai essayé de me placer au mieux pour le dernier virage. Je devait placer la voiture sur une bande de 5cm et je suis sorti un peu large. J'ai alors repris l'intérieur en lui laissant le reste de la piste. Il ne l'a pas pris alors c'est passé assez juste. On sait que certains pilotes ont certaines idées."
Pour répondre à la réponse de Schumacher, Barrichello s'est contenté de dire qu'il laisait les commissaires et le public juger. "Cela a toujours été de ma faute pendant six ans", a-t-il toutefois ajouté, faisant remonter soudainement l'époque Ferrari. "C'est incroyable mais je vais laisser la parole aux commissaires Il a toujours pensé que j'étais un geignard. J'aimerais bien que le public me dise ce qu'il en pense." Au vu de la popularité de Schumacher, il vaut mieux que Barrichello s'en tienne au verdict des commissaires.