La FIA veut créer des permis spécifiques destinés aux membres du personnel dirigeant des écuries.
Cela permettra à l'instance dirigeante de placer ces personnes sous leur juridiction et de les sanctionner si cela s'avérait nécssaire. Conséquence directe du cas Briatore.
Suite au scandale Crashgate, Flavio Briatore et Pat Symonds ont été radiés par la FIA. Mais en janvier dernier, les sanctions imposées contre les anciens dirigeants de Renault F1 étaient cassées par un jugement du Tribunal de grande instance. La cour avait conclu que la FIA pouvait "sanctionner ses licenciés, ses dirigeants", mais "ne peut prendre, à l'égard de tiers, des mesures équivalentes à une sanction."
La FIA avait bien retenu la leçon et annonçait son intention "de considérer les actions appropriées devant être mises en œuvre pour s'assurer qu'aucune personne qui s'engagerait, ou qui se sont engagées, dans des activités dangereuses ou actes intentionnels de tricherie ne soient autorisées à participer à la Formule 1 dans le futur."
Lors d'une réunion tenue à Paris aujourd'hui, la FIA a dévoilé le système qu'elle entend mettre en place.
"Le Conseil mondial du sport automobile proposera à l'Assemblée générale de créer des licences spécifiques pour certains membres du personnel des compétiteurs inscrits dans les championnats de la FIA", indique un communiqué.
Six personnes sont visées par cette proposition, soit "le patron de l'équipe, le directeur sportif, le manager de l'équipe, le directeur technique et deux ingénieurs de course (ou l'équivalent de ces titres)."
De plus, un nouveau mécanisme sera mis en place pour mieux contrôler les lieux tombant sous la juridiction de la FIA lors d'une épreuve : "Aucun laisser-passer ne sera remis à toute personne ou organisation n'étant pas en règle au niveau du Code sportif international."
Autrement dit, toute persona non grata ne sera pas autorisée à accéder au paddock, et ce même s'ils reçoivent un laisser-passer de courtoisie.
Cela permettra à l'instance dirigeante de placer ces personnes sous leur juridiction et de les sanctionner si cela s'avérait nécssaire. Conséquence directe du cas Briatore.
Suite au scandale Crashgate, Flavio Briatore et Pat Symonds ont été radiés par la FIA. Mais en janvier dernier, les sanctions imposées contre les anciens dirigeants de Renault F1 étaient cassées par un jugement du Tribunal de grande instance. La cour avait conclu que la FIA pouvait "sanctionner ses licenciés, ses dirigeants", mais "ne peut prendre, à l'égard de tiers, des mesures équivalentes à une sanction."
La FIA avait bien retenu la leçon et annonçait son intention "de considérer les actions appropriées devant être mises en œuvre pour s'assurer qu'aucune personne qui s'engagerait, ou qui se sont engagées, dans des activités dangereuses ou actes intentionnels de tricherie ne soient autorisées à participer à la Formule 1 dans le futur."
Lors d'une réunion tenue à Paris aujourd'hui, la FIA a dévoilé le système qu'elle entend mettre en place.
"Le Conseil mondial du sport automobile proposera à l'Assemblée générale de créer des licences spécifiques pour certains membres du personnel des compétiteurs inscrits dans les championnats de la FIA", indique un communiqué.
Six personnes sont visées par cette proposition, soit "le patron de l'équipe, le directeur sportif, le manager de l'équipe, le directeur technique et deux ingénieurs de course (ou l'équivalent de ces titres)."
De plus, un nouveau mécanisme sera mis en place pour mieux contrôler les lieux tombant sous la juridiction de la FIA lors d'une épreuve : "Aucun laisser-passer ne sera remis à toute personne ou organisation n'étant pas en règle au niveau du Code sportif international."
Autrement dit, toute persona non grata ne sera pas autorisée à accéder au paddock, et ce même s'ils reçoivent un laisser-passer de courtoisie.