Durant le récent Grand Prix d’Italie, la Scuderia Ferrari a réussi un des changements de pneus les plus rapides de l’histoire de la Formule 1, permettant à Fernando Alonso de passer devant le meneur de la course, Jenson Button.
Alonso a lui-même donné le crédit à ses équipiers pour un travail effectué à la vitesse de l’éclair.
Les 16 mécaniciens impliqués (deux aux crics, un aux feux, un qui surveille le trafic dans la ligne de puits et trois par roue) n’a pris que 3,4 secondes à effectuer le boulot et à retourner Alonso en piste.
Le chrono moyen de l’écurie Ferrari est de 3,7 secondes. Mais le record de l’écurie est de 3,3 secondes effectué à Montréal au Grand Prix du Canada en juin dernier, permettant à Alonso de passer devant Lewis Hamilton.
« Depuis le début de l’année, nous avons effectué plus de 1300 changements de roues, que ce soit à la piste ou à l’usine à Maranello, » explique Diego Ioverno, chef des opérations de course, de l’assemblage des voitures et des boîtes de vitesses.
« Lors des semaines où il n’y a pas de Grand Prix. Nous nous entraînons à trois reprises et effectuons environ 30 simulations à chaque jour, » ajoute Ioverno.
Grâce au système de chronométrage de Ferrari, revoyons comment s’est déroulé cet arrêt qui commence dès qu’Alonso immobilise sa F10 dans l’emplacement prévu dans les puits.
+0,35 sec: la voiture est soulevée par les deux crics
+0,70: les roues avec les pneus tendres sont retirées
+1,40: les roues avec les pneus durs sont en place sur les porte-moyeux
+2,30: la première roue est fixée, et le mécano lève le bras
+2,60: la seconde roue est fixée
+2,70: la troisième roue est fixée
+2,90: la quatrième roue est fixée
+3,40: la voiture retombe au sol et le feu vert est allumé
Alonso remet les gaz et démarre, et revient en piste juste devant le museau de la McLaren de Button. Alonso n’a jamais été inquiété par la suite et récolte la victoire devant des dizaines de milliers de tifosi !
Alonso a lui-même donné le crédit à ses équipiers pour un travail effectué à la vitesse de l’éclair.
Les 16 mécaniciens impliqués (deux aux crics, un aux feux, un qui surveille le trafic dans la ligne de puits et trois par roue) n’a pris que 3,4 secondes à effectuer le boulot et à retourner Alonso en piste.
Le chrono moyen de l’écurie Ferrari est de 3,7 secondes. Mais le record de l’écurie est de 3,3 secondes effectué à Montréal au Grand Prix du Canada en juin dernier, permettant à Alonso de passer devant Lewis Hamilton.
« Depuis le début de l’année, nous avons effectué plus de 1300 changements de roues, que ce soit à la piste ou à l’usine à Maranello, » explique Diego Ioverno, chef des opérations de course, de l’assemblage des voitures et des boîtes de vitesses.
« Lors des semaines où il n’y a pas de Grand Prix. Nous nous entraînons à trois reprises et effectuons environ 30 simulations à chaque jour, » ajoute Ioverno.
Grâce au système de chronométrage de Ferrari, revoyons comment s’est déroulé cet arrêt qui commence dès qu’Alonso immobilise sa F10 dans l’emplacement prévu dans les puits.
+0,35 sec: la voiture est soulevée par les deux crics
+0,70: les roues avec les pneus tendres sont retirées
+1,40: les roues avec les pneus durs sont en place sur les porte-moyeux
+2,30: la première roue est fixée, et le mécano lève le bras
+2,60: la seconde roue est fixée
+2,70: la troisième roue est fixée
+2,90: la quatrième roue est fixée
+3,40: la voiture retombe au sol et le feu vert est allumé
Alonso remet les gaz et démarre, et revient en piste juste devant le museau de la McLaren de Button. Alonso n’a jamais été inquiété par la suite et récolte la victoire devant des dizaines de milliers de tifosi !