La rumeur enfle depuis plusieurs semaines dans les paddocks. L'emblématique Luca di Montezemolo, président de Ferrari, pourrait vivre sa dernière saison, voire sa dernière année à la tête de la Scuderia. Le week-end dernier à Monza, John Elkann, le récent PDG Fiat (propriété de Ferrari) a clairement laissé entendre que "certaines choses doivent évoluer".
ELKANN A AUJOURD'HUI TOUS LES POUVOIRS
A 34 ans, Elkann est le petit-fils de Giovanni Agnelli Jr et arrière-arrière-petit-fils du fondateur de Fiat Giovanni Agnelli. A la tête de l'empire de la célèbre famille (qui possède également le club de football de la Juventus), Elkann aimerait certainement rajeunir les cadres de l'illustre marque au Cheval cabré. Luca Cordero Di Montezemolo (63 ans) serait donc sur la liste des "possibles" partants. Surnommé il pluripresidente, Luca di Montezemolo n'a jamais été très apprécié de John Elkann. Il lui reprocherait ses prises de position en 2006 au coeur du scandale des matches truqués qui a entraîné la rélégation en Série-B de la Vieille Dame. Depuis, le courant fonctionne en mode alternatif entre les deux hommes. Seulement, Elkann possède depuis avril 2010 tous les pouvoirs - président de Fiat, EXOR (la holding de la famille Agnelli) et président de la Giovanni Agnelli e C. Sapaz - pour dégoupiller Di Montezemolo ce qui n'était pas le cas avant le printemps écoulé.
CVC CHERCHE UN SUCCESSEUR A ECCLESTONE
Autre fait marquant: l'étrange manège entre Di Montezemolo et Flavio Briatore depuis plusieurs semaines dans l'environnement même de la Scuderia Ferrari sur les GP, qui a le don d'irriter la présidence de Fiat. Les deux hommes d'affaires se seraient rapprochés de CVC (Capital partners Group) - détenteurs des droits commerciaux de la Formule 1 et le GP2 - qui pense à la succession de Bernie Ecclestone.
ET L'ON REPARLE DE MOURINHO
Enfin, selon des sources concordantes, Ferrari aurait accepter de confier à Emilio Botin, le PDG de la banco Santander, le projet de dénicher un certain José Mourinho, l'actuel entraîneur du club du Real Madrid, pour un rôle de consultant auprès du management des pilotes (une à trois journées par mois à partir de 2011). Alonso aurait déjà donné son aval. Ce voeu est exhaucé depuis des mois par Botin qui rêve d'un patron "made in Mourinho" chez Ferrari après sa brillante carrière d'entraîneur. Grâce à son généreux prêt bancaire (Santander a accordé un crédit de plusieurs centaines de millions d'euros à Florentino perez, Président du Real Madrid), Botin a des arguments de poids dans la balance. Perez a déjà évoqué "une idée farfelue". Botin lui a rétoqué qu'il était dans se droits d'exiger ce qu'il veut à Madrid. Affaires à suivre...
ELKANN A AUJOURD'HUI TOUS LES POUVOIRS
A 34 ans, Elkann est le petit-fils de Giovanni Agnelli Jr et arrière-arrière-petit-fils du fondateur de Fiat Giovanni Agnelli. A la tête de l'empire de la célèbre famille (qui possède également le club de football de la Juventus), Elkann aimerait certainement rajeunir les cadres de l'illustre marque au Cheval cabré. Luca Cordero Di Montezemolo (63 ans) serait donc sur la liste des "possibles" partants. Surnommé il pluripresidente, Luca di Montezemolo n'a jamais été très apprécié de John Elkann. Il lui reprocherait ses prises de position en 2006 au coeur du scandale des matches truqués qui a entraîné la rélégation en Série-B de la Vieille Dame. Depuis, le courant fonctionne en mode alternatif entre les deux hommes. Seulement, Elkann possède depuis avril 2010 tous les pouvoirs - président de Fiat, EXOR (la holding de la famille Agnelli) et président de la Giovanni Agnelli e C. Sapaz - pour dégoupiller Di Montezemolo ce qui n'était pas le cas avant le printemps écoulé.
CVC CHERCHE UN SUCCESSEUR A ECCLESTONE
Autre fait marquant: l'étrange manège entre Di Montezemolo et Flavio Briatore depuis plusieurs semaines dans l'environnement même de la Scuderia Ferrari sur les GP, qui a le don d'irriter la présidence de Fiat. Les deux hommes d'affaires se seraient rapprochés de CVC (Capital partners Group) - détenteurs des droits commerciaux de la Formule 1 et le GP2 - qui pense à la succession de Bernie Ecclestone.
ET L'ON REPARLE DE MOURINHO
Enfin, selon des sources concordantes, Ferrari aurait accepter de confier à Emilio Botin, le PDG de la banco Santander, le projet de dénicher un certain José Mourinho, l'actuel entraîneur du club du Real Madrid, pour un rôle de consultant auprès du management des pilotes (une à trois journées par mois à partir de 2011). Alonso aurait déjà donné son aval. Ce voeu est exhaucé depuis des mois par Botin qui rêve d'un patron "made in Mourinho" chez Ferrari après sa brillante carrière d'entraîneur. Grâce à son généreux prêt bancaire (Santander a accordé un crédit de plusieurs centaines de millions d'euros à Florentino perez, Président du Real Madrid), Botin a des arguments de poids dans la balance. Perez a déjà évoqué "une idée farfelue". Botin lui a rétoqué qu'il était dans se droits d'exiger ce qu'il veut à Madrid. Affaires à suivre...