Leader du Championnat à quatre courses de la fin mais en quête d'une première victoire depuis le Grand Prix de Hongrie, Mark Webber a joué profil bas, jeudi à Suzuka.
"On est tous assez égaux à ce moment. Cela peut changer rapidement, d'une manière positive, ou négative pour moi. Mais je ne pense pas (au titre). Ce n'est qu'un nouveau GP. Si le Championnat durait quinze courses, je serais champion. Mais malheureusement, ce n'est pas le cas", a expliqué l'Australien à l'AFP.
"Je ne suis pas le favori", a soutenu Webber. "Onze points (son avance sur le 2e du classement, Fernando Alonso), c'est peu. C'est l'équivalent d'une 4e ou 5e place. Si je les ai avant la dernière course, ce sera chouette. Mais ce n'est pas la dernière course."
En outre, depuis la dernière victoire de Webber au Hungaroring, l'écurie de Milton Keynes n'a plus gagné une seule course. Bien que le concepteur des RB6 Adrian Newey s'en défende, le durcissement du règlement sur les ailerons avant a pu en partie enrayer la dynamique de Red Bull avant les derniers rendez-vous à Suzuka, en Corée du Sud, au Brésil et à Abou Dhabi.
"On est tous assez égaux à ce moment. Cela peut changer rapidement, d'une manière positive, ou négative pour moi. Mais je ne pense pas (au titre). Ce n'est qu'un nouveau GP. Si le Championnat durait quinze courses, je serais champion. Mais malheureusement, ce n'est pas le cas", a expliqué l'Australien à l'AFP.
"Je ne suis pas le favori", a soutenu Webber. "Onze points (son avance sur le 2e du classement, Fernando Alonso), c'est peu. C'est l'équivalent d'une 4e ou 5e place. Si je les ai avant la dernière course, ce sera chouette. Mais ce n'est pas la dernière course."
En outre, depuis la dernière victoire de Webber au Hungaroring, l'écurie de Milton Keynes n'a plus gagné une seule course. Bien que le concepteur des RB6 Adrian Newey s'en défende, le durcissement du règlement sur les ailerons avant a pu en partie enrayer la dynamique de Red Bull avant les derniers rendez-vous à Suzuka, en Corée du Sud, au Brésil et à Abou Dhabi.