Tandis que les espoirs des McLaren s'amenuisent et que Fernando Alonso est le seul prétendant Ferrari, la rivalité entre les coéquipiers Mark Webber et Sebastian Vettel va être sous les projecteurs pour les trois dernières courses de la saison.
Le tandem Red Bull, séparé de 14 points, se bat pour le titre de champion du monde des pilotes, une conquête qui a vu souvent les équipes favoriser un pilote par rapport à un autre en fin de championnat.
Sebastian Vettel et Mark Webber ont tous les deux refusé d'être placé en position de numéro 2 et Christian Horner réitère la politique égalitaire de Red Bull.
La compétition entre les deux équipiers, et le fait qu'ils ne sont pas amis, est un problème chez Red Bull, tandis que chez Ferrari Fernando Alonso bénéficie clairement du soutien de Felipe Massa.
Le patron de l'équipe insiste : "Nous sommes chanceux d'avoir deux pilotes extrêmement solides. Et même si cela pose certains défis quelque fois, c'est un luxe d'avoir ce problème à gérer."
C'est évidemment un luxe d'avoir deux prétendants au titre, mais l'équipe Red Bull risque de perdre beaucoup en ne se concentrant pas sur un seul pilote.
Christian Horner reconnaissait au Japon : "Le scénario rêvé serait d'avoir suffisamment d'avance sur les autres et que la bataille finale se passe entre nos deux pilotes. Mais en tant qu'équipe nous faisons de notre mieux pour un traitement égalitaire car nos deux pilotes peuvent vraiment toujours gagner le championnat."
Ancien pilote McLaren, John Watson pense que la tension au sein du camp Red Bull peut résulter à une nouvelle situation comme en Turquie, ce qui fait que McLaren peut rester dans la course au titre.
À Suzuka, Mark Webber n'a perdu que 3 points face à Sebastien Vettel en terminant derrière lui. Mais il a montré sa compétitivité en réalisant le meilleur tour durant le dernier tour de la course.
"Je ne pouvais pas lui laisser tout gagner," souligne l'Australien.
Martin Brundle, commentateur pour la BBC, remarque : "L'équipe doit vivre une grande angoisse avec cette guerre des nerfs inutile en fin de course."
John Watson ajoute sur la chaîne de radio BBC Five Live: "Je suis inquiet de cette guerre interne entre les pilotes Red Bull."
Le tandem Red Bull, séparé de 14 points, se bat pour le titre de champion du monde des pilotes, une conquête qui a vu souvent les équipes favoriser un pilote par rapport à un autre en fin de championnat.
Sebastian Vettel et Mark Webber ont tous les deux refusé d'être placé en position de numéro 2 et Christian Horner réitère la politique égalitaire de Red Bull.
La compétition entre les deux équipiers, et le fait qu'ils ne sont pas amis, est un problème chez Red Bull, tandis que chez Ferrari Fernando Alonso bénéficie clairement du soutien de Felipe Massa.
Le patron de l'équipe insiste : "Nous sommes chanceux d'avoir deux pilotes extrêmement solides. Et même si cela pose certains défis quelque fois, c'est un luxe d'avoir ce problème à gérer."
C'est évidemment un luxe d'avoir deux prétendants au titre, mais l'équipe Red Bull risque de perdre beaucoup en ne se concentrant pas sur un seul pilote.
Christian Horner reconnaissait au Japon : "Le scénario rêvé serait d'avoir suffisamment d'avance sur les autres et que la bataille finale se passe entre nos deux pilotes. Mais en tant qu'équipe nous faisons de notre mieux pour un traitement égalitaire car nos deux pilotes peuvent vraiment toujours gagner le championnat."
Ancien pilote McLaren, John Watson pense que la tension au sein du camp Red Bull peut résulter à une nouvelle situation comme en Turquie, ce qui fait que McLaren peut rester dans la course au titre.
À Suzuka, Mark Webber n'a perdu que 3 points face à Sebastien Vettel en terminant derrière lui. Mais il a montré sa compétitivité en réalisant le meilleur tour durant le dernier tour de la course.
"Je ne pouvais pas lui laisser tout gagner," souligne l'Australien.
Martin Brundle, commentateur pour la BBC, remarque : "L'équipe doit vivre une grande angoisse avec cette guerre des nerfs inutile en fin de course."
John Watson ajoute sur la chaîne de radio BBC Five Live: "Je suis inquiet de cette guerre interne entre les pilotes Red Bull."