Vettel-Webber, ça se tend encore
Le pilote Red Bull Sebastian Vettel a révélé que ses divergences avec son coéquipier Mark Webber avaient atteint un point de non retour.
"Il s'est passé deux ou trois choses cette saison", a-t-il dit dans une interview à la Frankfurter Allgemeinen Zeitung dimanche. "On va conclure de la manière suivant : on ne sera probablement jamais amis."
Les initimités entré coéquipiers en F1 sont plus que monnaie courante mais, en général, après quelques années, elle se tassent. Le plus emblématique fut sans doute celle entre Alain Prost et Ayrton Senna. Entre les deux champions du monde, la haine la plus tenace a progressivement laissé place à la considération et au respect.
Même chose entre Lewis Hamilton et Fernando Alonso qui se sont opposés en 2007. Cette saison, Hamilton a déclaré qu'il ne verrait pas d'inconvénient à faire équipe avec Alonso dans le futur et il a fait partie de ceux qui n'ont pas blâmé Ferrari pour ses consignes d'équipe.
"Lorsqu'il vient à Zurich, il m'envoie un SMS et on se voit", a même avoué Hamilton.
Ce que feront peut-être Vettel et Webber dans quelques années pour se raconter la saison 2010...
Le pilote Red Bull Sebastian Vettel a révélé que ses divergences avec son coéquipier Mark Webber avaient atteint un point de non retour.
"Il s'est passé deux ou trois choses cette saison", a-t-il dit dans une interview à la Frankfurter Allgemeinen Zeitung dimanche. "On va conclure de la manière suivant : on ne sera probablement jamais amis."
Les initimités entré coéquipiers en F1 sont plus que monnaie courante mais, en général, après quelques années, elle se tassent. Le plus emblématique fut sans doute celle entre Alain Prost et Ayrton Senna. Entre les deux champions du monde, la haine la plus tenace a progressivement laissé place à la considération et au respect.
Même chose entre Lewis Hamilton et Fernando Alonso qui se sont opposés en 2007. Cette saison, Hamilton a déclaré qu'il ne verrait pas d'inconvénient à faire équipe avec Alonso dans le futur et il a fait partie de ceux qui n'ont pas blâmé Ferrari pour ses consignes d'équipe.
"Lorsqu'il vient à Zurich, il m'envoie un SMS et on se voit", a même avoué Hamilton.
Ce que feront peut-être Vettel et Webber dans quelques années pour se raconter la saison 2010...