McLaren ne veut pas de "gentlemen"
L'écurie McLaren ne s'attend pas à voir Jenson Button et Lewis Hamilton agir en "gentlemen" l'un envers l'autre. Et c'est très bien ainsi.
Au cours de la saison 2010, chez Red Bull, nous avons vu une longue guerre intestine entre Sebastian Vettel et Mark Webber. Dans le clan Ferrari, Fernando Alonso n'a pas toujours ménagé Felipe Massa, dépassement à l'entrée de la voie des stands à l'appui. Les controverses au sein de ces deux équipes de pointe ont alimenté un grand nombre de discussions.
Pendant ce temps-là, pour leur première saison comme coéquipiers, les deux champions de McLaren semblaient très bien s'entendre. Le duo britannique affichait une belle harmonie et chaque pilote comptait sur l'autre pour le pousser. Mis à part une attaque de Button sur Hamilton en Turquie, conséquence d'une indication mal comprise, aucun heurt majeur à signaler.
Mais cela ne signifie pas qu'ils se font des faveurs lors des courses. Au contraire, affirme le directeur général de McLaren, Jonathan Neale : "Ils sont tous les deux très compétitifs. On ne s'attend pas à ce qu'ils agissent toujours en gentlemen sur la piste."
"Ils sont là pour courir l'un contre l'autre et ils ne se font pas de cadeaux", ajoute-t-il. "Ils nous font parfois crisper sur le mur des stands. C'est arrivé à plusieurs reprises l'an dernier, mais nous les payons pour ça."
Il y a quelques mois, Ron Dennis concédait que son remplaçant à la tête de l'équipe, Martin Whitmarsh, fait un meilleur travail que lui au niveau de la "cohabitation entre deux champions du monde."
L'écurie McLaren ne s'attend pas à voir Jenson Button et Lewis Hamilton agir en "gentlemen" l'un envers l'autre. Et c'est très bien ainsi.
Au cours de la saison 2010, chez Red Bull, nous avons vu une longue guerre intestine entre Sebastian Vettel et Mark Webber. Dans le clan Ferrari, Fernando Alonso n'a pas toujours ménagé Felipe Massa, dépassement à l'entrée de la voie des stands à l'appui. Les controverses au sein de ces deux équipes de pointe ont alimenté un grand nombre de discussions.
Pendant ce temps-là, pour leur première saison comme coéquipiers, les deux champions de McLaren semblaient très bien s'entendre. Le duo britannique affichait une belle harmonie et chaque pilote comptait sur l'autre pour le pousser. Mis à part une attaque de Button sur Hamilton en Turquie, conséquence d'une indication mal comprise, aucun heurt majeur à signaler.
Mais cela ne signifie pas qu'ils se font des faveurs lors des courses. Au contraire, affirme le directeur général de McLaren, Jonathan Neale : "Ils sont tous les deux très compétitifs. On ne s'attend pas à ce qu'ils agissent toujours en gentlemen sur la piste."
"Ils sont là pour courir l'un contre l'autre et ils ne se font pas de cadeaux", ajoute-t-il. "Ils nous font parfois crisper sur le mur des stands. C'est arrivé à plusieurs reprises l'an dernier, mais nous les payons pour ça."
Il y a quelques mois, Ron Dennis concédait que son remplaçant à la tête de l'équipe, Martin Whitmarsh, fait un meilleur travail que lui au niveau de la "cohabitation entre deux champions du monde."