Ecclestone veut la pluie à volonté
Pour améliorer le spectacle, Bernie Ecclestone rêve d'installer un système d'arrosage sur les circuits afin de simuler la pluie.
"Les courses sont totalement différentes lorsqu'il pleut", a noté l'octogénaire tout-puissant sur le site officiel de la F1. "C'est dans ces conditions que l'on a eu les courses les plus intéressantes, alors faisons pleuvoir !"
"Il y a des pistes que l'on peut humidifier et il serait facile d'aménager un système le permettant. Pourquoi par 20 minutes ou les dix derniers tours de la course ? En donnant l'information deux minutes avant pour garantir l'égalité des chances." Voilà qui va plaire à la Bulgarie qui envisage de construire un circuit qui peut être arrosé.
En 2011, l'aileron arrière ajustable devrait déjà permettre à un pilote plus rapide de dépasser plus facilement mais, finalement, cette mesure ne convainc pas totalement Ecclestone. "Les commissaires auront des difficultés à contrôler", craint-il. "Il y a pas mal de chances qu'il y ait des réclamations. Et en plus, pour moi, c'est dangereux. Que va-t-il se passer si l'aileron ne revient pas à sa position initiale à l'abord d'un virage ?"
Pour améliorer le spectacle, Bernie Ecclestone rêve d'installer un système d'arrosage sur les circuits afin de simuler la pluie.
"Les courses sont totalement différentes lorsqu'il pleut", a noté l'octogénaire tout-puissant sur le site officiel de la F1. "C'est dans ces conditions que l'on a eu les courses les plus intéressantes, alors faisons pleuvoir !"
"Il y a des pistes que l'on peut humidifier et il serait facile d'aménager un système le permettant. Pourquoi par 20 minutes ou les dix derniers tours de la course ? En donnant l'information deux minutes avant pour garantir l'égalité des chances." Voilà qui va plaire à la Bulgarie qui envisage de construire un circuit qui peut être arrosé.
En 2011, l'aileron arrière ajustable devrait déjà permettre à un pilote plus rapide de dépasser plus facilement mais, finalement, cette mesure ne convainc pas totalement Ecclestone. "Les commissaires auront des difficultés à contrôler", craint-il. "Il y a pas mal de chances qu'il y ait des réclamations. Et en plus, pour moi, c'est dangereux. Que va-t-il se passer si l'aileron ne revient pas à sa position initiale à l'abord d'un virage ?"