Les chances de voir le Grand Prix de Bahreïn reporté en fin de saison
semblent maintenant nulles. Le roi Al Khalifa est apparu à la
télévision pour décréter un état d'urgence de trois mois "pour protéger
le pays et ses citoyens."
Les tensions entre les manifestants et le gouvernement ont forcé l'annulation
de ce qui devait être le premier GP de la saison, le 13 mars. La
semaine dernière, la FIA accordait un délai aux organisateurs, leur
laissant jusqu'au 1er mai
pour décider si la situation politique au pays permettrait la tenue de
la course vers la fin du championnat. Mais ce délai viendra à échéance
bien avant la fin de l'état d'urgence.
Malgré des heurts violents le mois dernier, le gouvernement semblait
enclin à trouver une solution pacifique à la crise qui l'oppose aux
manifestants pro-démocratie. Mais des troupes du Bouclier de la
péninsule, une coalition des pays du Golfe persique, sont maintenant entrées à Bahreïn et ont rejoint Manama, la capitale. Le mouvement protestataire a vite crié au complot contre la population civile.
De nouvelles confrontations violentes entre les manifestants et les
forces de l'ordre ont eu lieu ; des décès sont à déplorer. Il est
difficile de croire que le climat politique soit au beau fixe d'ici
novembre.
Il y a quelques semaines, avant le report du Grand Prix, les équipes de la Formule 1 pensaient boycotter la course. Cette position pourrait être maintenue.
semblent maintenant nulles. Le roi Al Khalifa est apparu à la
télévision pour décréter un état d'urgence de trois mois "pour protéger
le pays et ses citoyens."
Les tensions entre les manifestants et le gouvernement ont forcé l'annulation
de ce qui devait être le premier GP de la saison, le 13 mars. La
semaine dernière, la FIA accordait un délai aux organisateurs, leur
laissant jusqu'au 1er mai
pour décider si la situation politique au pays permettrait la tenue de
la course vers la fin du championnat. Mais ce délai viendra à échéance
bien avant la fin de l'état d'urgence.
Malgré des heurts violents le mois dernier, le gouvernement semblait
enclin à trouver une solution pacifique à la crise qui l'oppose aux
manifestants pro-démocratie. Mais des troupes du Bouclier de la
péninsule, une coalition des pays du Golfe persique, sont maintenant entrées à Bahreïn et ont rejoint Manama, la capitale. Le mouvement protestataire a vite crié au complot contre la population civile.
De nouvelles confrontations violentes entre les manifestants et les
forces de l'ordre ont eu lieu ; des décès sont à déplorer. Il est
difficile de croire que le climat politique soit au beau fixe d'ici
novembre.
Il y a quelques semaines, avant le report du Grand Prix, les équipes de la Formule 1 pensaient boycotter la course. Cette position pourrait être maintenue.