Michael Schumacher a perdu toutes ses illusions dès les premiers tours en touchant Vitaly Petrov. le pilote Mercedes admet ses torts.
"Ce qu'il c'est passé avec Vitaly Petrov est principalement ma faute", a déclaré Schumi. "Soudainement, nous nous sommes retrouvés côte à côte et au bout du compte j'ai perdu mon aileron." Le septuple champion du monde était alors obligé de passer par les stands.
Le Russe de l'écurie Renault était passé au freinage lorsque l'Allemand s'est rabattu sur la roue arrière droite de la R31. "Il y a eu beaucoup de bagarre et beaucoup d'action pour, au final, pas grand-chose". Et zéro point.
"La plupart du temps nous avons pu progresser (durant ce week-end) mais il va encore falloir attendre pour éprouver de la joie", a-t-il conclu, à nouveau battu par son coéquipier Nico Rosberg (5e).
Même sentiment d'inachevé chez Ross Brawn, le patron de l'équipe : "On savait que l'on était un peu vulnérables avec le plein. Il nous faut encore penser à la manière dont nous allons gérer les priorités. Au cours de cette épreuve, les pneus arrière se sont rapidement dégradés et c'est la raison pour laquelle nous avons perdu du terrain".
Rosberg a pourtant pris la deuxième place au départ. "Lorsque le carburant commençait à baisser on a de nouveau fait des temps respectables", a continué Brawn.
"Ce qu'il ressort de cette course c'est que les qualifications sont de moins en moins importantes", affirme le stratège. "Les réglages course et les pneus le sont davantage. Il y a beaucoup à méditer après ce week-end."
"Ce qu'il c'est passé avec Vitaly Petrov est principalement ma faute", a déclaré Schumi. "Soudainement, nous nous sommes retrouvés côte à côte et au bout du compte j'ai perdu mon aileron." Le septuple champion du monde était alors obligé de passer par les stands.
Le Russe de l'écurie Renault était passé au freinage lorsque l'Allemand s'est rabattu sur la roue arrière droite de la R31. "Il y a eu beaucoup de bagarre et beaucoup d'action pour, au final, pas grand-chose". Et zéro point.
"La plupart du temps nous avons pu progresser (durant ce week-end) mais il va encore falloir attendre pour éprouver de la joie", a-t-il conclu, à nouveau battu par son coéquipier Nico Rosberg (5e).
Même sentiment d'inachevé chez Ross Brawn, le patron de l'équipe : "On savait que l'on était un peu vulnérables avec le plein. Il nous faut encore penser à la manière dont nous allons gérer les priorités. Au cours de cette épreuve, les pneus arrière se sont rapidement dégradés et c'est la raison pour laquelle nous avons perdu du terrain".
Rosberg a pourtant pris la deuxième place au départ. "Lorsque le carburant commençait à baisser on a de nouveau fait des temps respectables", a continué Brawn.
"Ce qu'il ressort de cette course c'est que les qualifications sont de moins en moins importantes", affirme le stratège. "Les réglages course et les pneus le sont davantage. Il y a beaucoup à méditer après ce week-end."