Alors que la F10 faisait partie des monoplaces les plus compétitives en début de saison, Ferrari a semblé perdre pied de Grand Prix en Grand Prix.
La faute au F-Duct sur lequel l’écurie de Maranello a misé toutes ses cartes, au point de mettre de côté d’autres domaines potentiels d’amélioration.
Aujourd’hui, Stefano Domenicali reconnait que Ferrari s’est trompé dans son développement et assure que la marque au cheval cabré a l’intention de rebondir dès Valence dans deux semaines, à l’occasion du Grand Prix d’Europe.
"Bien sûr, il est nécessaire d’être plus agressif. Il est clair que nous avons concentré trop d’effort sur l’aileron arrière soufflé. Nous avons dépensé trop d’effort sur ce domaine et ne nous sommes pas concentrés sur les autres parties de la voiture."
"À compter de Valence, l’accent sera mis sur le développement d’autres parties de la voiture en dehors de cet aileron arrière soufflé, car c’est un système compliqué qui a pris beaucoup de ressources à notre équipe."
Sans nouveautés par rapport au Grand Prix de Turquie, Ferrari est parvenu à s’illustrer à Montréal, comme en témoigne le podium de Fernando Alonso. Mais, probablement en ayant à l’esprit la quinzième place du malchanceux Felipe Massa, Domenicali estime que son équipe aurait pu faire mieux.
"Nous aurions pu faire beaucoup, beaucoup mieux en termes de résultat. Nos performances étaient vraiment bonnes, honnêtement, et la voiture était exactement la même qu’en Turquie où nous étions en retrait de neuf dixièmes," rappelle le directeur général de Ferrari.
"Nous devons nous montrer prudents avant de faire quelque chose d’exagéré d’un côté ou d’un autre. Bien sûr, les pneus sont un facteur clé, et ici nous avons fait les bons choix dans ce domaine."
"Pour en revenir au championnat, il est très, très ouvert. Selon mes calculs, si nous avions remporté la course, nous mènerions le championnat avec Fernando. Cela veut dire que tout est très, très ouvert et c’est la motivation que nous devrions avoir au fond de nous pour nous assurer que nous attaquons course après course. Le Canada a donné une image totalement différente de celle d’il y a deux semaines," conclut l’Italien.
La faute au F-Duct sur lequel l’écurie de Maranello a misé toutes ses cartes, au point de mettre de côté d’autres domaines potentiels d’amélioration.
Aujourd’hui, Stefano Domenicali reconnait que Ferrari s’est trompé dans son développement et assure que la marque au cheval cabré a l’intention de rebondir dès Valence dans deux semaines, à l’occasion du Grand Prix d’Europe.
"Bien sûr, il est nécessaire d’être plus agressif. Il est clair que nous avons concentré trop d’effort sur l’aileron arrière soufflé. Nous avons dépensé trop d’effort sur ce domaine et ne nous sommes pas concentrés sur les autres parties de la voiture."
"À compter de Valence, l’accent sera mis sur le développement d’autres parties de la voiture en dehors de cet aileron arrière soufflé, car c’est un système compliqué qui a pris beaucoup de ressources à notre équipe."
Sans nouveautés par rapport au Grand Prix de Turquie, Ferrari est parvenu à s’illustrer à Montréal, comme en témoigne le podium de Fernando Alonso. Mais, probablement en ayant à l’esprit la quinzième place du malchanceux Felipe Massa, Domenicali estime que son équipe aurait pu faire mieux.
"Nous aurions pu faire beaucoup, beaucoup mieux en termes de résultat. Nos performances étaient vraiment bonnes, honnêtement, et la voiture était exactement la même qu’en Turquie où nous étions en retrait de neuf dixièmes," rappelle le directeur général de Ferrari.
"Nous devons nous montrer prudents avant de faire quelque chose d’exagéré d’un côté ou d’un autre. Bien sûr, les pneus sont un facteur clé, et ici nous avons fait les bons choix dans ce domaine."
"Pour en revenir au championnat, il est très, très ouvert. Selon mes calculs, si nous avions remporté la course, nous mènerions le championnat avec Fernando. Cela veut dire que tout est très, très ouvert et c’est la motivation que nous devrions avoir au fond de nous pour nous assurer que nous attaquons course après course. Le Canada a donné une image totalement différente de celle d’il y a deux semaines," conclut l’Italien.