Le patron de l'écurie F1 Renault Flavio Briatore a annoncé samedi, alors qu'il répondait à une question anodine des journalistes, qu'il comptait arrêter dans deux ans toute activité au sein de la firme française, mais aussi partout ailleurs dans le milieu de la Formule 1.
« J'aime battre Ferrari, mais quand mon équipe ne gagne pas, étant italien, je soutiens naturellement Ferrari », a-t-il d'abord expliqué.
« Mais je ne pense pas que je vais aller travailler à Maranello, a-t-il ensuite ajouté, pour mettre fin à toute éventualité de le voir un jour s'engager avec l'écurie au cheval cabré, d'autant plus que dans deux ans, je vais arrêter. »
Déclaration calculée ou erreur malencontreuse ? Quoi qu'il en soit, il est trop tard pour faire machine arrière, la bombe est lancée.
Il a dès lors pu s'exprimer sur les nouvelles règles, en vigueur dès la saison prochaine, qui selon lui « vont rendre la Formule 1 plus intéressante et humaine ». « Je suis d'accord avec les constructeurs, qui afin d'essayer d'éviter la crise, ont donné un bon exemple en essayant de nouvelles idées », a-t-il conclu.
« J'aime battre Ferrari, mais quand mon équipe ne gagne pas, étant italien, je soutiens naturellement Ferrari », a-t-il d'abord expliqué.
« Mais je ne pense pas que je vais aller travailler à Maranello, a-t-il ensuite ajouté, pour mettre fin à toute éventualité de le voir un jour s'engager avec l'écurie au cheval cabré, d'autant plus que dans deux ans, je vais arrêter. »
Déclaration calculée ou erreur malencontreuse ? Quoi qu'il en soit, il est trop tard pour faire machine arrière, la bombe est lancée.
Il a dès lors pu s'exprimer sur les nouvelles règles, en vigueur dès la saison prochaine, qui selon lui « vont rendre la Formule 1 plus intéressante et humaine ». « Je suis d'accord avec les constructeurs, qui afin d'essayer d'éviter la crise, ont donné un bon exemple en essayant de nouvelles idées », a-t-il conclu.