On ne sait pas si Sébastien Buemi a demandé au Père Noël de lui mettre un contrat de pilote titulaire dans son petit soulier déposé au pied de la cheminée, mais le fait est que c'est bien ce qu'il a reçu comme cadeau. Une belle histoire pour ce pilote suisse de 20 ans.
Et ce cadeau, c'est avec quelques jours d'avance qu'il est arrivé. "Le 22 décembre, j'étais à Fuschl am See en Autriche (le quartier général de la société Red Bull). J'étais là-bas pour travailler ma condition physique et j'espérais que quelque chose allait arriver au cours de mon séjour de trois jours. Le lundi, monsieur Mateschitz m'a convoqué dans son bureau, il m'a montré le contrat et m'a demandé de le signer. Ce fut un moment fantastique!"
Sébastien est désormais pilote de F1 et ce n'est pas une mince performance lorsqu'on a la nationalité suisse. "La Suisse n'est pas l'endroit idéal lorsque vous voulez vous lancer dans une carrière dans le sport automobile. Il n'y a aucune aide pour les pilotes, aucune infrastructure, pas le moindre circuit et aucun programme de soutien."
"En France par exemple, il y a quelques belles écoles de pilotage et ils ont pourtant des difficultés à avoir un pilote en F1. Vous pouvez donc imaginer ce que c'est lorsqu'on vient d'un pays où il n'y a rien. Peut-être que mon arrivée en F1 va changer ça," ajoute Buemi.
A Melbourne, le 29 mars prochain, Sébastien Buemi sera probablement le pilote le plus jeune sur la grille de départ du Grand Prix d'Australie. Cela ne le perturbe pas plus que ça...
"J'ai déjà été le plus jeune vainqueur en GP2, en F3 et en Formula BMW. Ce fut très agréable, mais en F1 cela n'a aucune importance. L'âge ne compte pas. Je peux me mesurer à des pilotes qui ont de 25 à 40 ans, cela ne fait aucune différence pour moi. Je veux être le plus rapide, peu importe mon âge."
Etant très jeune et manquant d'expérience, Sébastien Buemi préférerait avoir un équipier grâce auquel il pourra apprendre plus vite. "Pour moi, le plus important est d'être en F1 et pas de me préoccuper de l'identité de mon futur équipier. Bien sûr, j'aimerais le battre et être aussi compétitif que possible. Toutefois, si je devais avoir un équipier avec de l'expérience, je pourrais alors progresser plus vite rien qu'en l'observant."
Et ce cadeau, c'est avec quelques jours d'avance qu'il est arrivé. "Le 22 décembre, j'étais à Fuschl am See en Autriche (le quartier général de la société Red Bull). J'étais là-bas pour travailler ma condition physique et j'espérais que quelque chose allait arriver au cours de mon séjour de trois jours. Le lundi, monsieur Mateschitz m'a convoqué dans son bureau, il m'a montré le contrat et m'a demandé de le signer. Ce fut un moment fantastique!"
Sébastien est désormais pilote de F1 et ce n'est pas une mince performance lorsqu'on a la nationalité suisse. "La Suisse n'est pas l'endroit idéal lorsque vous voulez vous lancer dans une carrière dans le sport automobile. Il n'y a aucune aide pour les pilotes, aucune infrastructure, pas le moindre circuit et aucun programme de soutien."
"En France par exemple, il y a quelques belles écoles de pilotage et ils ont pourtant des difficultés à avoir un pilote en F1. Vous pouvez donc imaginer ce que c'est lorsqu'on vient d'un pays où il n'y a rien. Peut-être que mon arrivée en F1 va changer ça," ajoute Buemi.
A Melbourne, le 29 mars prochain, Sébastien Buemi sera probablement le pilote le plus jeune sur la grille de départ du Grand Prix d'Australie. Cela ne le perturbe pas plus que ça...
"J'ai déjà été le plus jeune vainqueur en GP2, en F3 et en Formula BMW. Ce fut très agréable, mais en F1 cela n'a aucune importance. L'âge ne compte pas. Je peux me mesurer à des pilotes qui ont de 25 à 40 ans, cela ne fait aucune différence pour moi. Je veux être le plus rapide, peu importe mon âge."
Etant très jeune et manquant d'expérience, Sébastien Buemi préférerait avoir un équipier grâce auquel il pourra apprendre plus vite. "Pour moi, le plus important est d'être en F1 et pas de me préoccuper de l'identité de mon futur équipier. Bien sûr, j'aimerais le battre et être aussi compétitif que possible. Toutefois, si je devais avoir un équipier avec de l'expérience, je pourrais alors progresser plus vite rien qu'en l'observant."