Le président de McLaren-Mercedes Ron Dennis, a annoncé qu'il démissionnerait de ses fonctions de patron de l'écurie britannique de F1 le 1er mars après plus de 27 ans en fonction, vendredi lors de la présentation de la nouvelle monoplace à Woking.
"Il est vraiment temps que Martin (ndlr: Whitmarsh, le directeur-général de McLaren-Mercedes) prenne le boulot de patron de l'écurie, donc à partir du 1er mars, il prendra le poste", a déclaré Dennis, 61 ans.
"Je continuerai à aller voir quelques courses, parce que je reste passionné", a poursuivi Dennis qui avait repris l'écurie en 1982 pour en faire rapidement une des meilleures du circuit.
"Mais ne considérez pas cela comme une retraite. C'est l'inverse", a poursuivi le Britannique, qui a assuré qu'il resterait dirigeant du groupe et qu'il "prendrait plus de responsabilités dans certains domaines clés", comme le développement d'une "voiture de tourisme".
La position de Dennis avait été fragilisée par l'affaire d'espionnage de Ferrari lors de la saison 2007, qui avait valu à son équipe une amende record de 100 millions de dollars et l'exclusion du Championnat du monde des constructeurs.
Mais il s'était refusé à quitter ses fonctions même si son bras droit, Whitmarsh, avait pris une part croissante.
La saison passée, le pilote qu'il avait recruté adolescent et dont il avait couvé l'éclosion, Lewis Hamilton, est devenu champion du monde des pilotes.
Autodidacte, Dennis était entré dans les années 1960 en Formule 1 comme simple mécanicien, grimpant un à un les échelons.
Après sa reprise de McLaren, il ne tarde pas à amener l'écurie au sommet, Nikki Lauda (1984), Alain Prost (1985, 1986 et 1989) et Ayrton Senna (1988, 1990 et 1991) étant successivement sacrés avec lui.
L'entrée dans le capital à la fin des années 1990 du constructeur allemand Mercedes-Benz, désormais actionnaire majoritaire, permet à l'écurie de renouer avec le succès après des années de vaches maigres. Malgré les années de domination de l'Allemand Michael Schumacher, Mikka Hakkinen est sacré en 1998 et 1999.
En 2007, Dennis avait cédé 30 % des parts de l'écurie à un groupe d'investissement émirati, ne conservant que 15 % des actions.
Dennis entretient des relations notoirement difficiles avec le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), son compatriote Max Mosley.
"Il est vraiment temps que Martin (ndlr: Whitmarsh, le directeur-général de McLaren-Mercedes) prenne le boulot de patron de l'écurie, donc à partir du 1er mars, il prendra le poste", a déclaré Dennis, 61 ans.
"Je continuerai à aller voir quelques courses, parce que je reste passionné", a poursuivi Dennis qui avait repris l'écurie en 1982 pour en faire rapidement une des meilleures du circuit.
"Mais ne considérez pas cela comme une retraite. C'est l'inverse", a poursuivi le Britannique, qui a assuré qu'il resterait dirigeant du groupe et qu'il "prendrait plus de responsabilités dans certains domaines clés", comme le développement d'une "voiture de tourisme".
La position de Dennis avait été fragilisée par l'affaire d'espionnage de Ferrari lors de la saison 2007, qui avait valu à son équipe une amende record de 100 millions de dollars et l'exclusion du Championnat du monde des constructeurs.
Mais il s'était refusé à quitter ses fonctions même si son bras droit, Whitmarsh, avait pris une part croissante.
La saison passée, le pilote qu'il avait recruté adolescent et dont il avait couvé l'éclosion, Lewis Hamilton, est devenu champion du monde des pilotes.
Autodidacte, Dennis était entré dans les années 1960 en Formule 1 comme simple mécanicien, grimpant un à un les échelons.
Après sa reprise de McLaren, il ne tarde pas à amener l'écurie au sommet, Nikki Lauda (1984), Alain Prost (1985, 1986 et 1989) et Ayrton Senna (1988, 1990 et 1991) étant successivement sacrés avec lui.
L'entrée dans le capital à la fin des années 1990 du constructeur allemand Mercedes-Benz, désormais actionnaire majoritaire, permet à l'écurie de renouer avec le succès après des années de vaches maigres. Malgré les années de domination de l'Allemand Michael Schumacher, Mikka Hakkinen est sacré en 1998 et 1999.
En 2007, Dennis avait cédé 30 % des parts de l'écurie à un groupe d'investissement émirati, ne conservant que 15 % des actions.
Dennis entretient des relations notoirement difficiles avec le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), son compatriote Max Mosley.
