Près de cinq cents personnes ont manifesté samedi après-midi à l'endroit où pourrait s'implanter un circuit de Formule 1 dans les Yvelines, entre Flins et Les Mureaux, a constaté l'AFP.
A l'appel du Collectif «Flins sans F1», des élus locaux, des agriculteurs BIO ainsi que des membres d'associations de sauvegarde de l'environnement ont déploré le projet d'installer dans la vallée de la Seine un circuit de F1, sur une surface de 120 ha, "source de pollutions sonore" et qui pourrait "souiller une nappe phréatique qui alimente plus de 700 000 habitants" .
"C'est un terrain de 120 ha dévolu à l'agriculture biologique que l'on a détourné grâce à une zone d'aménagement différée (ZAD) signée par la préfecture et contre laquelle nous avons introduit un recours gracieux", a expliqué à l'AFP le maire de Mézy-sur-Seine (DVG), Jean Mallet.
Selon le maire de ce village de 1.800 habitants, à la tête de la protestation et qui a été rejoint par d'autres communes comme Mézières-sur-Seine ou Juziers, "le terrain sur lequel repose le projet de circuit de F1 est partiellement inondable. On nous dit en outre que la Formule 1 créera des emplois mais c'est faux. C'est un délire pour l'environnement et un non sens aujourd'hui de miser avec plus de 100 millions d'euros sur l'automobile."
Le cortège des manifestants ouvert par plusieurs tracteurs affublés de calicots appelant à la défense de l'agriculture BIO a pris la direction de Flins-sur-Seine avant de revenir aux Mureaux.
A l'appel du Collectif «Flins sans F1», des élus locaux, des agriculteurs BIO ainsi que des membres d'associations de sauvegarde de l'environnement ont déploré le projet d'installer dans la vallée de la Seine un circuit de F1, sur une surface de 120 ha, "source de pollutions sonore" et qui pourrait "souiller une nappe phréatique qui alimente plus de 700 000 habitants" .
"C'est un terrain de 120 ha dévolu à l'agriculture biologique que l'on a détourné grâce à une zone d'aménagement différée (ZAD) signée par la préfecture et contre laquelle nous avons introduit un recours gracieux", a expliqué à l'AFP le maire de Mézy-sur-Seine (DVG), Jean Mallet.
Selon le maire de ce village de 1.800 habitants, à la tête de la protestation et qui a été rejoint par d'autres communes comme Mézières-sur-Seine ou Juziers, "le terrain sur lequel repose le projet de circuit de F1 est partiellement inondable. On nous dit en outre que la Formule 1 créera des emplois mais c'est faux. C'est un délire pour l'environnement et un non sens aujourd'hui de miser avec plus de 100 millions d'euros sur l'automobile."
Le cortège des manifestants ouvert par plusieurs tracteurs affublés de calicots appelant à la défense de l'agriculture BIO a pris la direction de Flins-sur-Seine avant de revenir aux Mureaux.