Le double champion du monde espagnol Fernando Alonso a-t-il dû réduire son salaire afin de contribuer lui aussi aux efforts d'économies de l'équipe Renault ?
C'est ce qu'affirme Flavio Briatore - directeur de l'équipe Renault F1 - dans la presse italienne, sans toutefois citer le moindre chiffre.
Le Daily Mail avance pour sa part un chiffre concernant Fernando Alonso.
D'après ce journal britannique, le pilote Renault aurait bel et bien accepté une très importante réduction de son salaire puisqu'il devrait empocher 8,5 millions d'euros cette année au lieu des 13 millions qui étaient prévus dans son contrat.
Alonso n'est bien sûr pas le seul à qui Renault a demandé de faire un petit effort.
"Fernando a eu à subir une réduction de son salaire, comme tous les membres de l'équipe," affirme Flavio Briatore, dans les colonnes du Daily Express.
Cette chasse aux économies passe aussi par quelques licenciements. Briatore confirme en effet la destruction de 50 emplois dans l'usine Renault d'Enstone, au Royaume-Uni. "C'est triste, mais nous étions dans une bulle en F1 et maintenant, pour sauver la majorité des emplois, il nous faut prendre des mesures," précise Briatore.
C'est ce qu'affirme Flavio Briatore - directeur de l'équipe Renault F1 - dans la presse italienne, sans toutefois citer le moindre chiffre.
Le Daily Mail avance pour sa part un chiffre concernant Fernando Alonso.
D'après ce journal britannique, le pilote Renault aurait bel et bien accepté une très importante réduction de son salaire puisqu'il devrait empocher 8,5 millions d'euros cette année au lieu des 13 millions qui étaient prévus dans son contrat.
Alonso n'est bien sûr pas le seul à qui Renault a demandé de faire un petit effort.
"Fernando a eu à subir une réduction de son salaire, comme tous les membres de l'équipe," affirme Flavio Briatore, dans les colonnes du Daily Express.
Cette chasse aux économies passe aussi par quelques licenciements. Briatore confirme en effet la destruction de 50 emplois dans l'usine Renault d'Enstone, au Royaume-Uni. "C'est triste, mais nous étions dans une bulle en F1 et maintenant, pour sauver la majorité des emplois, il nous faut prendre des mesures," précise Briatore.