Le président de la FIA, Max Mosley, a prévenu les équipes de Formule 1 rebelles que la seule façon dont elles pourrait réintégrer le championnat en 2010 sera d’acheter les plus petites équipes.
Les équipes qui désirent s’inscrire au championnat de 2010 doivent le faire entre le 22 et le 29 mai.
Pour se faire, les équipes doivent faire parvenir leurs bulletins d’inscription, les frais de 309 000 euros et accepter les règles, dont le fameux plafond budgétaire, ce que bien peu d’équipes semblent être disposées à faire.
« Si nous n’avons pas assez de voitures pour former une grille de départ complète, ce qui sera probablement le cas, les équipes rebelles pourront d’inscrire plus tard. Mais le danger est qu’il ne restera peut-être plus de place, » a déclaré Mosley sur les ondes de la BBC.
« Ce qui risque de survenir est comme ce qui arrive à la chaise musicale. Quand la musique s’arrête, il risque de ne pas y avoir assez de chaises pour tout le monde. Alors les équipes dissidentes devront acheter une des petites équipes ou quelque chose du genre. Elles devraient bien y réfléchir avant de ne pas soumettre leurs inscriptions, » a-t-il précisé.
Mosley croit que les équipes Williams, Brawn GP et Force India, de même que USF1 et Lola enverront leurs inscriptions à temps.
Mais le président de la FIA ne croit pas à un dénouement rapide de cette affaire.
« Je crois qu’on va en discuter durant tout l’été, mais un jour les équipes devront connaître quelle type de voiture elles doivent construire ».
Mosley croit aussi que c’est le devoir de la FIA d’agir, car l’immobilisme des équipes en place ne fait que bloquer l’arrivée de nouvelles.
« Quand nous nous sommes rendu compte que les constructeurs pouvaient quitter la F1, comme Honda l’a fait, nous devions attirer de nouvelles équipes. Nous avons demandé des garanties des équipes que nous n’avons jamais eues, puis des réunions et des discussions. Il fallait agir. Nous devions prendre des décisions quand il en était encore temps, » a précisé Mosley.
En terminant, Mosley affirme encore une fois que la Formule 1 peut survivre sans Ferrari,
« Oh oui, absolument. Sinon, nous devrions abandonner la gérance du sport et laisser faire Ferrari. Le jour où nous dirons ‘nous ne pouvons pas exister sans Ferrari’, eh bien Ferrari pourra alors dicter ses propres règles ».
Les équipes qui désirent s’inscrire au championnat de 2010 doivent le faire entre le 22 et le 29 mai.
Pour se faire, les équipes doivent faire parvenir leurs bulletins d’inscription, les frais de 309 000 euros et accepter les règles, dont le fameux plafond budgétaire, ce que bien peu d’équipes semblent être disposées à faire.
« Si nous n’avons pas assez de voitures pour former une grille de départ complète, ce qui sera probablement le cas, les équipes rebelles pourront d’inscrire plus tard. Mais le danger est qu’il ne restera peut-être plus de place, » a déclaré Mosley sur les ondes de la BBC.
« Ce qui risque de survenir est comme ce qui arrive à la chaise musicale. Quand la musique s’arrête, il risque de ne pas y avoir assez de chaises pour tout le monde. Alors les équipes dissidentes devront acheter une des petites équipes ou quelque chose du genre. Elles devraient bien y réfléchir avant de ne pas soumettre leurs inscriptions, » a-t-il précisé.
Mosley croit que les équipes Williams, Brawn GP et Force India, de même que USF1 et Lola enverront leurs inscriptions à temps.
Mais le président de la FIA ne croit pas à un dénouement rapide de cette affaire.
« Je crois qu’on va en discuter durant tout l’été, mais un jour les équipes devront connaître quelle type de voiture elles doivent construire ».
Mosley croit aussi que c’est le devoir de la FIA d’agir, car l’immobilisme des équipes en place ne fait que bloquer l’arrivée de nouvelles.
« Quand nous nous sommes rendu compte que les constructeurs pouvaient quitter la F1, comme Honda l’a fait, nous devions attirer de nouvelles équipes. Nous avons demandé des garanties des équipes que nous n’avons jamais eues, puis des réunions et des discussions. Il fallait agir. Nous devions prendre des décisions quand il en était encore temps, » a précisé Mosley.
En terminant, Mosley affirme encore une fois que la Formule 1 peut survivre sans Ferrari,
« Oh oui, absolument. Sinon, nous devrions abandonner la gérance du sport et laisser faire Ferrari. Le jour où nous dirons ‘nous ne pouvons pas exister sans Ferrari’, eh bien Ferrari pourra alors dicter ses propres règles ».