Le double champion du monde, Fernando Alonso, a admis dans la presse allemande qu'il pourrait mettre un terme à sa carrière en F1 si les grands constructeurs devaient mettre leur menace à exécution de quitter le championnat en raison du nouveau règlement.
"Si la Formule 1 perdait son statut de plus grand championnat automobile parce que les grands constructeurs l'auraient délaissé, je quitterais moi aussi la F1 et j'arrêterais ", a expliqué le pilote Renault au quotidien allemand Die Welt, paru samedi.
"Une Formule 1 sans les grands constructeurs ne serait plus pour moi de la F1. Je ne voudrais pas piloter une voiture qui, techniquement et dans les autres compartiments, ne serait pas la meilleure ou la plus exigeante", a poursuivi le champion du monde 2005 et 2006, actuellement 7e du classement des pilotes 2009.
"Cela ne m'intéresserait pas. Et du reste, je ne crois pas qu'il soit possible de mettre en place un championnat dans lequel les écuries veulent autre chose que l'instance qui régit ce championnat", a ajouté l'Espagnol qui compte 21 victoires en Grand Prix.
"Je ne peux pas imaginer une F1 sans Ferrari, Renault, Mercedes ou BMW", a-t-il ajouté, en assurant qu'il n'avait "pas besoin de la F1 pour survivre en tant que pilote. Je me trouverais un autre championnat qui me procurera du plaisir", a-t-il conclu.
"Si la Formule 1 perdait son statut de plus grand championnat automobile parce que les grands constructeurs l'auraient délaissé, je quitterais moi aussi la F1 et j'arrêterais ", a expliqué le pilote Renault au quotidien allemand Die Welt, paru samedi.
"Une Formule 1 sans les grands constructeurs ne serait plus pour moi de la F1. Je ne voudrais pas piloter une voiture qui, techniquement et dans les autres compartiments, ne serait pas la meilleure ou la plus exigeante", a poursuivi le champion du monde 2005 et 2006, actuellement 7e du classement des pilotes 2009.
"Cela ne m'intéresserait pas. Et du reste, je ne crois pas qu'il soit possible de mettre en place un championnat dans lequel les écuries veulent autre chose que l'instance qui régit ce championnat", a ajouté l'Espagnol qui compte 21 victoires en Grand Prix.
"Je ne peux pas imaginer une F1 sans Ferrari, Renault, Mercedes ou BMW", a-t-il ajouté, en assurant qu'il n'avait "pas besoin de la F1 pour survivre en tant que pilote. Je me trouverais un autre championnat qui me procurera du plaisir", a-t-il conclu.