La réunion de la FOTA tenue mercredi à Londres a vu les équipes franchir un pas considérable dans la résolution du problème des inscriptions au Championnat du monde de la Formule 1 de 2010.
Suite à cette longue réunion, durant laquelle l’écurie Williams a été bannie, il semble que les équipes se soient entendues pour accepter le compromis proposé par Max Mosley, le président de la FIA, à Monaco.
On croit que Mosley se serait montré réceptif à la proposition des équipes, menées par McLaren et Mercedes-Benz, d’implanter le plafond budgétaire de façon graduelle, la saison 2010 en étant une de transition.
Le magazine allemand Auto Motor und Sport croit que le principal obstacle provient maintenant du montant du plafond exigé par les écuries pour 2010. On parle d’un montant de 100 millions d’euros, ce qui est nettement supérieur aux 45 que tentait d’imposer la FIA.
Mais le bonbon offert par la FIA concernerait certains compromis technologiques qui permettaient aux nouvelles écuries de faire rouler des voitures clients durant la saison 2010 avant que le plafond budgétaire soit mis en application en 2011.
Un autre compromis concernerait le contrôle des budgets. Les équipes s’opposent farouchement à l’idée de voir des firmes comptables externes venir fouiller dans leurs documents administratifs. Mais il semble que les équipes pourraient autoadministrer le plafond, sous la supervision de la firme Deloitte.
Pour conclure, on croit que le compromis était presque conclu à Monaco, mais les équipes Ferrari et Toyota ont refusé avec obstination l’idée d’un plafond budgétaire, quel qu’en soit le montant.
Suite à cette longue réunion, durant laquelle l’écurie Williams a été bannie, il semble que les équipes se soient entendues pour accepter le compromis proposé par Max Mosley, le président de la FIA, à Monaco.
On croit que Mosley se serait montré réceptif à la proposition des équipes, menées par McLaren et Mercedes-Benz, d’implanter le plafond budgétaire de façon graduelle, la saison 2010 en étant une de transition.
Le magazine allemand Auto Motor und Sport croit que le principal obstacle provient maintenant du montant du plafond exigé par les écuries pour 2010. On parle d’un montant de 100 millions d’euros, ce qui est nettement supérieur aux 45 que tentait d’imposer la FIA.
Mais le bonbon offert par la FIA concernerait certains compromis technologiques qui permettaient aux nouvelles écuries de faire rouler des voitures clients durant la saison 2010 avant que le plafond budgétaire soit mis en application en 2011.
Un autre compromis concernerait le contrôle des budgets. Les équipes s’opposent farouchement à l’idée de voir des firmes comptables externes venir fouiller dans leurs documents administratifs. Mais il semble que les équipes pourraient autoadministrer le plafond, sous la supervision de la firme Deloitte.
Pour conclure, on croit que le compromis était presque conclu à Monaco, mais les équipes Ferrari et Toyota ont refusé avec obstination l’idée d’un plafond budgétaire, quel qu’en soit le montant.