La FIA a exprimé sa "stupéfaction" après le communiqué publié par l'Association des Constructeurs Automobiles Européens (ACEA) prétendant que la Formule 1 avait besoin d'un changement de gouvernance.
Ce communiqué a suscité une réponse de la FIA, qui a publié un communiqué ce lundi indiquant qu'elle ne comprenait pas pourquoi les constructeurs automobiles étaient contre son projet de réduire les coûts en Formule 1. "La FIA est surprise que l'Association des Constructeurs Automobiles Européens, l'ACEA, ait rejeté les efforts de la FIA pour réduire les coûts en F1. Par contre, la FIA approuve fermement l'appel de l'ACEA à des mesures urgentes pour un retour au premier plan du secteur automobile, extrêmement touché par la crise financière et la récession économique qui en découlent... " rapporte le communiqué.
"En conséquence, l'objectif de la FIA est de permettre aux constructeurs en F1 de participer d'une manière aussi économique que possible, tout en maintenant les avantages sportifs, techniques et marketing que la discipline offre. En réduisant leurs coûts, les membres de l'ACEA seront capables d'appliquer des économies très bénéfiques sur leurs activités courantes, pour financer les salaires, les investissements, les programmes marketing et le soutien aux concessionnaires. Cela réduira aussi le besoin de l'industrie à chercher des financements auprès des contribuables ou des actionnaires."
FERRARI LA CIBLE NUMERO UN
"Réduire les coûts des cinq constructeurs de 400 à 500 millions d'euros récemment rapportés par Ferrari à même un niveau de 200 millions d'euros débloquerait 1 à 1,5 milliards d'euros par an pour les activités principales. Même si une équipe comme Ferrari pourrait encore dépenser autant que 200 millions d'euros malgré le programme de réduction de coûts de la FIA, d'autres seront capables de courir avec succès pour un tiers de ce chiffre", ajoute le communiqué.
LA FIA VOTE PORSCHE POUR LA F1
La FIA a ajouté qu'elle serait heureuse de rencontrer les représentants de l'ACEA pour discuter de la situation. Elle a également souligné que le constructeur automobile allemand Porsche avait également pris ses distances par rapport à la position de l'ACEA concernant la F1, accentuant les spéculations que le constructeur allemand pourrait envisager une entrée en F1 sous le régime du budget plafonné cher Mosley.
Ce communiqué a suscité une réponse de la FIA, qui a publié un communiqué ce lundi indiquant qu'elle ne comprenait pas pourquoi les constructeurs automobiles étaient contre son projet de réduire les coûts en Formule 1. "La FIA est surprise que l'Association des Constructeurs Automobiles Européens, l'ACEA, ait rejeté les efforts de la FIA pour réduire les coûts en F1. Par contre, la FIA approuve fermement l'appel de l'ACEA à des mesures urgentes pour un retour au premier plan du secteur automobile, extrêmement touché par la crise financière et la récession économique qui en découlent... " rapporte le communiqué.
"En conséquence, l'objectif de la FIA est de permettre aux constructeurs en F1 de participer d'une manière aussi économique que possible, tout en maintenant les avantages sportifs, techniques et marketing que la discipline offre. En réduisant leurs coûts, les membres de l'ACEA seront capables d'appliquer des économies très bénéfiques sur leurs activités courantes, pour financer les salaires, les investissements, les programmes marketing et le soutien aux concessionnaires. Cela réduira aussi le besoin de l'industrie à chercher des financements auprès des contribuables ou des actionnaires."
FERRARI LA CIBLE NUMERO UN
"Réduire les coûts des cinq constructeurs de 400 à 500 millions d'euros récemment rapportés par Ferrari à même un niveau de 200 millions d'euros débloquerait 1 à 1,5 milliards d'euros par an pour les activités principales. Même si une équipe comme Ferrari pourrait encore dépenser autant que 200 millions d'euros malgré le programme de réduction de coûts de la FIA, d'autres seront capables de courir avec succès pour un tiers de ce chiffre", ajoute le communiqué.
LA FIA VOTE PORSCHE POUR LA F1
La FIA a ajouté qu'elle serait heureuse de rencontrer les représentants de l'ACEA pour discuter de la situation. Elle a également souligné que le constructeur automobile allemand Porsche avait également pris ses distances par rapport à la position de l'ACEA concernant la F1, accentuant les spéculations que le constructeur allemand pourrait envisager une entrée en F1 sous le régime du budget plafonné cher Mosley.