La FIA a totalement rejeté les remarques de l'Association des Equipes de Formule 1 (FOTA) sur le fait que le président du jury des commissaires Alan Donnelly n'avait pas agi de manière impartiale à Istanbul.
La FOTA a écrit au président de la FIA Max Mosley il y a quelques jours se plaignant du comportement d'Alan Donnelly au Grand Prix de Turquie - où elle prétend qu'il a "déformé" la position des équipes dans le but de faire éclater la FOTA.
Dans une lettre relatée par Autosport, la FOTA a demandé à Max Mosley d'agir au sujet du comportement d'Alan Donnelly. "Nous aimerions porter à votre attention les préoccupations que la FOTA a concernant le conflit d'intérêt au sujet du rôle du Président Permanent des Commissaires de la FIA qui est également votre représentant en votre absence lors des week-ends de Grands Prix" indique la lettre, signée par les huit membres de la FOTA.
"Il était évident lors du Grand Prix de Turquie que plusieurs discussions aient été tenues entre la personne susmentionnée et plusieurs représentant d'équipes de Formule 1 avec une intention évidente de créer de la division entre les équipes de la FOTA en déformant la position de ces équipes."
Certaines indiscrétions avaient même rapporté après la course qu'Alan Donnelly avait menacé Ross Brawn s'il ne s'inscrivait pas "sans condition" au prochain championnat. Face à ce chantage, le Britannique n'avait pas cédé et il était allé rapporté ces faits à Stefano Domenicali et Flavio Briatore qui avaient laissé transpirer une menace de grève.
"La situation soulève de sérieux doutes sur l'autonomie des compétences sportives des fonctions exécutives de la FIA, qui doit être séparée pour une gouvernance correcte de la Fédération. Dans le rôle de la FIA en tant que régulateur, il est impératif que le Président des Commissaires reste totalement impartial et nous demandons respectueusement que ces rôles soient séparés."
La FIA est cependant restée inflexible aux affirmations de la FOTA et dément les allégations portées à l'encontre d'Alan Donnelly. Un porte-parole de la FIA a déclaré à Autosport : "La FIA rejette absolument la suggestion faite par la FOTA dans leur récente correspondance."
Même si la querelle actuelle entre la FIA et la FOTA est dominée par le budget plafonné de 45 millions d'euros, le problème de gouvernance reste un problème majeur pour les équipes.
La FOTA a écrit au président de la FIA Max Mosley il y a quelques jours se plaignant du comportement d'Alan Donnelly au Grand Prix de Turquie - où elle prétend qu'il a "déformé" la position des équipes dans le but de faire éclater la FOTA.
Dans une lettre relatée par Autosport, la FOTA a demandé à Max Mosley d'agir au sujet du comportement d'Alan Donnelly. "Nous aimerions porter à votre attention les préoccupations que la FOTA a concernant le conflit d'intérêt au sujet du rôle du Président Permanent des Commissaires de la FIA qui est également votre représentant en votre absence lors des week-ends de Grands Prix" indique la lettre, signée par les huit membres de la FOTA.
"Il était évident lors du Grand Prix de Turquie que plusieurs discussions aient été tenues entre la personne susmentionnée et plusieurs représentant d'équipes de Formule 1 avec une intention évidente de créer de la division entre les équipes de la FOTA en déformant la position de ces équipes."
Certaines indiscrétions avaient même rapporté après la course qu'Alan Donnelly avait menacé Ross Brawn s'il ne s'inscrivait pas "sans condition" au prochain championnat. Face à ce chantage, le Britannique n'avait pas cédé et il était allé rapporté ces faits à Stefano Domenicali et Flavio Briatore qui avaient laissé transpirer une menace de grève.
"La situation soulève de sérieux doutes sur l'autonomie des compétences sportives des fonctions exécutives de la FIA, qui doit être séparée pour une gouvernance correcte de la Fédération. Dans le rôle de la FIA en tant que régulateur, il est impératif que le Président des Commissaires reste totalement impartial et nous demandons respectueusement que ces rôles soient séparés."
La FIA est cependant restée inflexible aux affirmations de la FOTA et dément les allégations portées à l'encontre d'Alan Donnelly. Un porte-parole de la FIA a déclaré à Autosport : "La FIA rejette absolument la suggestion faite par la FOTA dans leur récente correspondance."
Même si la querelle actuelle entre la FIA et la FOTA est dominée par le budget plafonné de 45 millions d'euros, le problème de gouvernance reste un problème majeur pour les équipes.