Giancarlo Fisichella rêve de la Scuderia Ferrari depuis de longues années, mais il n'avait jamais pu concrétiser ses espoirs de rouler un jour au volant d'une monoplace de Maranello.
Il se disait qu'être de nationalité italienne n'était pas forcément un avantage pour rejoindre la Scuderia, jusqu'à ce que le président Luca di Montezemolo exige un pilote italien pour terminer la saison au volant de la Ferrari nº 3, celle qui est habituellement confiée à Felipe Massa.
"Mon rêve s'est réalisé, mais le défi qui m'attend maintenant ne sera pas simple à relever - déclare Fisichella - A Maranello, j'ai trouvé que l'ambiance était joyeuse. Je sais qu'à Monza je pourrai compter sur un potentiel que je n'aurais pas eu chez Force India. Le KERS par exemple et ses 70 ou 80 chevaux supplémentaires qui m'ont beaucoup manqué à Spa lorsque j'étais derrière Raikkonen."
Tout s'est passé très vite pour Fisichella. Le mercredi 2 septembre, il était pilote Force India avec un patron qui ne semblait pas vraiment disposé à le laisser filer chez Ferrari, mais le lendemain, il signait pour la Scuderia!
"Je ne pouvais pas y croire, je n'ai pas dormi de toute la nuit. La première personne à qui j'en ai parlé, c'est à mon père. C'est mon plus grand fan, c'est lui qui se demandait toujours pourquoi Ferrari ne faisait pas appel à moi," poursuit Fisico.
Fisichella aura donc un nouvel équipier à Monza, le Finlandais Kimi Raikkonen, qui ne s'est pas précipité sur son téléphone pour accueillir l'Italien au sein de la Scuderia. Mais il faut bien dire que Kimi n'est pas quelqu'un de particulièrement expansif...
"Je ne lui ai pas encore parlé. Kimi est un grand pilote et je suis ravi d'être dans la même équipe que lui. Michael, je vais le rencontrer à Vallelunga et je sais qu'il a été favorable à mon engagement chez Ferrari, ce qui me fait très plaisir. Felipe Massa? Après la signature du contrat avec Domenicali, nous lui avons téléphoné et il nous a dit qu'il était très content et que j'étais le bon choix," ajoute le pilote italien.
"Je dois encore remercier le président Luca di Montezemolo qui m'a choisi personnellement, Luca Domenicali et toute l'équipe Ferrari pour cette occasion qui m'est offerte," conclut-il.
Il se disait qu'être de nationalité italienne n'était pas forcément un avantage pour rejoindre la Scuderia, jusqu'à ce que le président Luca di Montezemolo exige un pilote italien pour terminer la saison au volant de la Ferrari nº 3, celle qui est habituellement confiée à Felipe Massa.
"Mon rêve s'est réalisé, mais le défi qui m'attend maintenant ne sera pas simple à relever - déclare Fisichella - A Maranello, j'ai trouvé que l'ambiance était joyeuse. Je sais qu'à Monza je pourrai compter sur un potentiel que je n'aurais pas eu chez Force India. Le KERS par exemple et ses 70 ou 80 chevaux supplémentaires qui m'ont beaucoup manqué à Spa lorsque j'étais derrière Raikkonen."
Tout s'est passé très vite pour Fisichella. Le mercredi 2 septembre, il était pilote Force India avec un patron qui ne semblait pas vraiment disposé à le laisser filer chez Ferrari, mais le lendemain, il signait pour la Scuderia!
"Je ne pouvais pas y croire, je n'ai pas dormi de toute la nuit. La première personne à qui j'en ai parlé, c'est à mon père. C'est mon plus grand fan, c'est lui qui se demandait toujours pourquoi Ferrari ne faisait pas appel à moi," poursuit Fisico.
Fisichella aura donc un nouvel équipier à Monza, le Finlandais Kimi Raikkonen, qui ne s'est pas précipité sur son téléphone pour accueillir l'Italien au sein de la Scuderia. Mais il faut bien dire que Kimi n'est pas quelqu'un de particulièrement expansif...
"Je ne lui ai pas encore parlé. Kimi est un grand pilote et je suis ravi d'être dans la même équipe que lui. Michael, je vais le rencontrer à Vallelunga et je sais qu'il a été favorable à mon engagement chez Ferrari, ce qui me fait très plaisir. Felipe Massa? Après la signature du contrat avec Domenicali, nous lui avons téléphoné et il nous a dit qu'il était très content et que j'étais le bon choix," ajoute le pilote italien.
"Je dois encore remercier le président Luca di Montezemolo qui m'a choisi personnellement, Luca Domenicali et toute l'équipe Ferrari pour cette occasion qui m'est offerte," conclut-il.
