Congédié par l’ancien patron de l’équipe Renault, Nelsinho Piquet ne s’attend pas à un pardon pour son implication dans l’affaire Renault lors du Grand Prix de Singapour 2008. Le Brésilien a témoigné devant le Conseil Mondial, réuni à Paris et fait part de ses sentiments par le biais d’un communiqué officiel plutôt que de s’adresser directement aux médias.
« Je suis soulagé que l'enquête de la FIA soit terminée » déclare le Brésilien. « Ceux qui dirigent maintenant l’équipe Renault F1 ont pris la décision, comme moi, qu'il valait mieux que la vérité soit connue et en accepter les conséquences. »
« Je regrette amèrement mes actions, d’avoir suivi les ordres qui m'ont été donnés » ajoute Piquet Junior. « Je souhaite tous les jours que je n’ai pas fait ça. Je ne sais pas jusqu'à quel point mes explications seront comprises car pour beaucoup de gens, être pilote de F1 est un incroyable privilège, comme ça l’a été pour moi. Tout ce que je peux vous dire c'est que ma situation chez Renault a viré au cauchemar. »
« Après avoir rêvé de devenir pilote de Formule 1 et d'avoir travaillé si dur pour y arriver, je me suis retrouvé à la merci de Monsieur Briatore. Son véritable caractère - qui n'était auparavant connu que de ceux qu'il avait traités de la sorte dans le passé - est maintenant connus de tous » se félicite Nelsinho.
« Monsieur Briatore était mon manager, ainsi que le patron de l'équipe, il avait mon avenir entre ses mains, mais il s’en moquait. Au moment du Grand Prix de Singapour, il m'avait isolé et m'a poussé au point le plus bas que je n'avais jamais atteint dans ma vie. Maintenant que je suis sorti de cette situation, je ne peux pas croire que j'ai accepté son plan, mais quand cela s’est passé, je pensais que je n'étais pas en mesure de refuser » avoue-t-il.
« Après la réaction de Monsieur Briatore, et avoir entendu ses observations au cours des deux dernières semaines, il est clair pour moi que j’ai tout simplement été manipulé. J'ai appris des leçons très difficiles au cours des 12 derniers mois – mais ce qui n'a pas changé, c'est mon amour pour la Formule 1 et l’envie d’y revenir » poursuit le Brésilien.
« Mais je me rends compte que je dois recommencer ma carrière de zéro. Je ne peux que souhaiter qu'une équipe puisse reconnaître à quel point j'ai été étouffé chez Renault et qu’on me donne l'occasion de concrétiser ce que j'ai promis au début de ma carrière, en F3 et en GP2. Ce qui est sûr, c’est qu'il n'y aura pas de pilote en Formule 1 plus déterminé que moi à faire ses preuves » estime Nelsinho.
« Je tiens à répéter que je suis vraiment désolé pour tout ceux qui travaillent en Formule 1 – y compris les nombreuses personnes compétentes chez Renault, les fans et le Conseil Mondial de la FIA. Je ne pense pas que je sois pardonné ou oublié, mais au moins maintenant, les gens peuvent en tirer des conclusions basées sur ce qui s'est réellement passé » concluait Piquet.
« Je suis soulagé que l'enquête de la FIA soit terminée » déclare le Brésilien. « Ceux qui dirigent maintenant l’équipe Renault F1 ont pris la décision, comme moi, qu'il valait mieux que la vérité soit connue et en accepter les conséquences. »
« Je regrette amèrement mes actions, d’avoir suivi les ordres qui m'ont été donnés » ajoute Piquet Junior. « Je souhaite tous les jours que je n’ai pas fait ça. Je ne sais pas jusqu'à quel point mes explications seront comprises car pour beaucoup de gens, être pilote de F1 est un incroyable privilège, comme ça l’a été pour moi. Tout ce que je peux vous dire c'est que ma situation chez Renault a viré au cauchemar. »
« Après avoir rêvé de devenir pilote de Formule 1 et d'avoir travaillé si dur pour y arriver, je me suis retrouvé à la merci de Monsieur Briatore. Son véritable caractère - qui n'était auparavant connu que de ceux qu'il avait traités de la sorte dans le passé - est maintenant connus de tous » se félicite Nelsinho.
« Monsieur Briatore était mon manager, ainsi que le patron de l'équipe, il avait mon avenir entre ses mains, mais il s’en moquait. Au moment du Grand Prix de Singapour, il m'avait isolé et m'a poussé au point le plus bas que je n'avais jamais atteint dans ma vie. Maintenant que je suis sorti de cette situation, je ne peux pas croire que j'ai accepté son plan, mais quand cela s’est passé, je pensais que je n'étais pas en mesure de refuser » avoue-t-il.
« Après la réaction de Monsieur Briatore, et avoir entendu ses observations au cours des deux dernières semaines, il est clair pour moi que j’ai tout simplement été manipulé. J'ai appris des leçons très difficiles au cours des 12 derniers mois – mais ce qui n'a pas changé, c'est mon amour pour la Formule 1 et l’envie d’y revenir » poursuit le Brésilien.
« Mais je me rends compte que je dois recommencer ma carrière de zéro. Je ne peux que souhaiter qu'une équipe puisse reconnaître à quel point j'ai été étouffé chez Renault et qu’on me donne l'occasion de concrétiser ce que j'ai promis au début de ma carrière, en F3 et en GP2. Ce qui est sûr, c’est qu'il n'y aura pas de pilote en Formule 1 plus déterminé que moi à faire ses preuves » estime Nelsinho.
« Je tiens à répéter que je suis vraiment désolé pour tout ceux qui travaillent en Formule 1 – y compris les nombreuses personnes compétentes chez Renault, les fans et le Conseil Mondial de la FIA. Je ne pense pas que je sois pardonné ou oublié, mais au moins maintenant, les gens peuvent en tirer des conclusions basées sur ce qui s'est réellement passé » concluait Piquet.