Titulaire chez BMW Sauber depuis le Grand Prix de Hongrie 2006, Robert Kubica et le constructeur germanique vont devoir se séparer à la fin de l’année !
A moins d’un miracle, le pilote polonais restera sans doute le seul à s’être imposé au volant d’une monoplace conçue à Hinwil, c’était au Canada au printemps 2008…
Depuis cet été – et la décision de BMW de quitter le Formula One Circus – l’écurie fondée par Peter Sauber a changé de mains. Un sauvetage qui n’assure toutefois pas l’équipe d’avoir sa place sur les grilles de départ l’an prochain.
La FIA doit recevoir l’accord de l’ensemble des écuries déjà engagées pour pouvoir modifier le règlement et accepter un 14ème concurrent pour le championnat du monde 2010.
Un changement de propriétaire qui ne semble pas affecter le pilote polonais : « C'est très bon que BMW et Sauber ait trouvé une solution et qu’il y ait des nouveaux investisseurs. Mais d'autre part, l'équipe n'est pas à l’avant de la grille pour l'instant, donc c'est un peu une situation étrange, parce qu'il y a tout en place pour faire du bon travail avec cette équipe l'an prochain, mais nous n’y somme pas encore, donc c'est un peu difficile ! »
En contact avec Renault, les événements survenus ces dernières semaines l’ont fait réfléchir à deux fois : « Bien sûr que - d'une certaine manière – j'ai été un peu plus intéressé par la décision du Conseil mondial de la FIA car Renault est l'une des options possibles pour moi. Bien sûr, perdre deux personnes clés change un peu la situation, mais je ne sais pas, on verra. »
« J'ai été avec BMW Sauber depuis mes débuts en F1 et c'est sûr que s'ils n’avaient pas décidé de s’en aller, je serais resté » affirmait Robert Kubica au magazine britannique Autosport. « Je suis impatient de relever un nouveau défi et d’entamer une relation à plus long terme, parce que même si vous n'êtes pas au top tout de suite, si vous avez tout pour le faire, vous pourrez y arriver. »
« Rester avec Sauber est l'une des options. L'argent est là, donc il y a tout le nécessaire pour retrouver le haut niveau. Mais il y a encore un point d'interrogation, parce que si je décide de rester là, et qu’en janvier prochain, je découvre que nous ne serons pas sur la grille de départ, ça va être un peu difficile » concluait-il.
A moins d’un miracle, le pilote polonais restera sans doute le seul à s’être imposé au volant d’une monoplace conçue à Hinwil, c’était au Canada au printemps 2008…
Depuis cet été – et la décision de BMW de quitter le Formula One Circus – l’écurie fondée par Peter Sauber a changé de mains. Un sauvetage qui n’assure toutefois pas l’équipe d’avoir sa place sur les grilles de départ l’an prochain.
La FIA doit recevoir l’accord de l’ensemble des écuries déjà engagées pour pouvoir modifier le règlement et accepter un 14ème concurrent pour le championnat du monde 2010.
Un changement de propriétaire qui ne semble pas affecter le pilote polonais : « C'est très bon que BMW et Sauber ait trouvé une solution et qu’il y ait des nouveaux investisseurs. Mais d'autre part, l'équipe n'est pas à l’avant de la grille pour l'instant, donc c'est un peu une situation étrange, parce qu'il y a tout en place pour faire du bon travail avec cette équipe l'an prochain, mais nous n’y somme pas encore, donc c'est un peu difficile ! »
En contact avec Renault, les événements survenus ces dernières semaines l’ont fait réfléchir à deux fois : « Bien sûr que - d'une certaine manière – j'ai été un peu plus intéressé par la décision du Conseil mondial de la FIA car Renault est l'une des options possibles pour moi. Bien sûr, perdre deux personnes clés change un peu la situation, mais je ne sais pas, on verra. »
« J'ai été avec BMW Sauber depuis mes débuts en F1 et c'est sûr que s'ils n’avaient pas décidé de s’en aller, je serais resté » affirmait Robert Kubica au magazine britannique Autosport. « Je suis impatient de relever un nouveau défi et d’entamer une relation à plus long terme, parce que même si vous n'êtes pas au top tout de suite, si vous avez tout pour le faire, vous pourrez y arriver. »
« Rester avec Sauber est l'une des options. L'argent est là, donc il y a tout le nécessaire pour retrouver le haut niveau. Mais il y a encore un point d'interrogation, parce que si je décide de rester là, et qu’en janvier prochain, je découvre que nous ne serons pas sur la grille de départ, ça va être un peu difficile » concluait-il.