Alain Prost a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de rejoindre la FIA, si son ami Jean Todt était élu à sa présidence, le 23 octobre prochain.
Le quadruple champion du monde français avait pourtant indiqué qu’il serait intéressé par occuper un poste, au sein de la FIA, qui s’occuperait de l’aspect sportif de la Formule 1. Mais il est revenu sur ses propos, estimant qu’il les "emmerderait" à la FIA.
"J’en ai déjà parlé avec Jean Todt, mais malgré une certaine image, je ne suis pas très politique. Je pense que je les emmerderais plus qu’autre chose," a déclaré Alain Prost, dans une interview avec le journal belge Vers l’Avenir.
En revanche, qui sera le futur président de la FIA ne fait aucun doute pour lui : "Jean Todt. Parce qu’il a le soutien de l’actuel président [Max Mosley] qui fait un travail politique auprès des différents clubs automobiles pour qu’il en soit ainsi."
A l'inverse, Alain Prost a confié qu’il pourrait être "intéressé" par le projet de diriger Renault F1 l’année prochaine, mais la position du constructeur automobile française en F1 est encore vague selon lui.
Après l’exclusion à vie du sport automobile de Flavio Briatore, qui était le directeur général de Renault F1, Alain Prost semblait être le favori pour lui succéder. L’équipe française a cependant mis sur pied un management intérimaire, composé de Bob Bell au poste de team principal et Jean-François Caubet comme directeur général de l’écurie.
Cependant, il est toujours envisageable qu’Alain Prost fasse son grand retour en Formule 1, après l’avoir quitté fin 2001 suite à la faillite de son équipe Prost Grand Prix.
"C’est compliqué... Je ne cherche pas un job. Mais oui, le projet pourrait m’intéresser. Tout dépend de ce que la marque veut vraiment faire," a déclaré Alain Prost.
Le quadruple champion du monde français avait pourtant indiqué qu’il serait intéressé par occuper un poste, au sein de la FIA, qui s’occuperait de l’aspect sportif de la Formule 1. Mais il est revenu sur ses propos, estimant qu’il les "emmerderait" à la FIA.
"J’en ai déjà parlé avec Jean Todt, mais malgré une certaine image, je ne suis pas très politique. Je pense que je les emmerderais plus qu’autre chose," a déclaré Alain Prost, dans une interview avec le journal belge Vers l’Avenir.
En revanche, qui sera le futur président de la FIA ne fait aucun doute pour lui : "Jean Todt. Parce qu’il a le soutien de l’actuel président [Max Mosley] qui fait un travail politique auprès des différents clubs automobiles pour qu’il en soit ainsi."
A l'inverse, Alain Prost a confié qu’il pourrait être "intéressé" par le projet de diriger Renault F1 l’année prochaine, mais la position du constructeur automobile française en F1 est encore vague selon lui.
Après l’exclusion à vie du sport automobile de Flavio Briatore, qui était le directeur général de Renault F1, Alain Prost semblait être le favori pour lui succéder. L’équipe française a cependant mis sur pied un management intérimaire, composé de Bob Bell au poste de team principal et Jean-François Caubet comme directeur général de l’écurie.
Cependant, il est toujours envisageable qu’Alain Prost fasse son grand retour en Formule 1, après l’avoir quitté fin 2001 suite à la faillite de son équipe Prost Grand Prix.
"C’est compliqué... Je ne cherche pas un job. Mais oui, le projet pourrait m’intéresser. Tout dépend de ce que la marque veut vraiment faire," a déclaré Alain Prost.