Largement battu dans la course à la présidence de la FIA, le Finlandais Ari Vatanen est amer et déçu. On le serait à moins, Jean Todt ayant été élu par 135 voix contre 49 pour son adversaire malheureux.
"Quand des gens vous disent trois fois je partage les mêmes valeurs de démocratie que vous, qu'ils vous regardent dans les yeux en le disant et qu'après ils votent différemment, c'est très décevant, pas pour moi, mais pour la démocratie", déclare Ari Vatanen lors d'un entretien avec l'AFP.
"Peut-être ont-ils eu peur de perdre leur rallye ou leur course mondiale (...). Je félicite Jean, mais la FIA, c'est autre chose," ajoute l'ex-champion du monde des Rallyes qui précise encore qu'il va chercher quelque chose d'autre d'intéressant à faire."
Pour sa part, Jean Todt se dit heureux d'avoir remporté une élection qu'il qualifie de démocratique et qui selon la FIA a été supervisée par un huissier de justice.
"Moi, j'aime l'action et faire avancer les choses - affirme Jean Todt - Arriver à cette position de président de la FIA, passer par une élection démocratique. Je suis heureux de voir qu'autant de pays à travers le monde ont soutenu ma candidature (...) Je suis contre l'idée de dire il faut tout changer. J'ai parlé de changement constructif. Ce qui était vrai il y a dix ans ne l'est plus aujourd'hui. Autant en terme de compétition automobile qu'en terme d'automobile particulière."
"Je suis un angoissé par nature, même si, tout autour de moi, je savais qu'il y avait un fort soutien. (...) Mais j'ai trop vécu dans ce milieu pour savoir que les choses ne sont jamais acquises d'avance", a ajouté le nouveau président de la FIA.
"Quand des gens vous disent trois fois je partage les mêmes valeurs de démocratie que vous, qu'ils vous regardent dans les yeux en le disant et qu'après ils votent différemment, c'est très décevant, pas pour moi, mais pour la démocratie", déclare Ari Vatanen lors d'un entretien avec l'AFP.
"Peut-être ont-ils eu peur de perdre leur rallye ou leur course mondiale (...). Je félicite Jean, mais la FIA, c'est autre chose," ajoute l'ex-champion du monde des Rallyes qui précise encore qu'il va chercher quelque chose d'autre d'intéressant à faire."
Pour sa part, Jean Todt se dit heureux d'avoir remporté une élection qu'il qualifie de démocratique et qui selon la FIA a été supervisée par un huissier de justice.
"Moi, j'aime l'action et faire avancer les choses - affirme Jean Todt - Arriver à cette position de président de la FIA, passer par une élection démocratique. Je suis heureux de voir qu'autant de pays à travers le monde ont soutenu ma candidature (...) Je suis contre l'idée de dire il faut tout changer. J'ai parlé de changement constructif. Ce qui était vrai il y a dix ans ne l'est plus aujourd'hui. Autant en terme de compétition automobile qu'en terme d'automobile particulière."
"Je suis un angoissé par nature, même si, tout autour de moi, je savais qu'il y avait un fort soutien. (...) Mais j'ai trop vécu dans ce milieu pour savoir que les choses ne sont jamais acquises d'avance", a ajouté le nouveau président de la FIA.