Quelques jours après sa nouvelle fonction, le président de la FIA Jean Todt connait ses premiers obstacles en choisissant un nouveau fournisseur de pneus pour remplacer Bridgestone et un comissaire de F1 acceptable pour les équipes.
Le départ de Bridgestone est venu comme un choc majeur pour le sport et beaucoup croient encore qu'il annonce le retrait total de la participation japonaise en Formule 1. Cependant nous en saurons plus les jours qui viennent quand Toyota annoncera ses plans pour 2010 et au delà.
Quand l'annonce de Bridgestone a d'abord été rendu publique, on se demandait si Corworth pourrait être persuadé de s'engouffrer dans la brêche avec un initié suggérant avec culot que le plan de Max était pour la Formule 1 d'utiliser des moteurs Ford 1600 qui peuvent durer toute la saison, pas de nappes et pas d'ailes.
Ayant été si mal traité la dernière fois, il est très peu probable que Michelin veuille revenir pour un deuxième service. Pendant que Goodyear ne semble pas avoir pris trop mal d'avoir été à l'écart pendant les 11 dernières saisons.
Pour cette raison, il faut regarder, tout comme Bernie Ecclestone, à l'Est. Après tout, le fabricant Coréen Kumho n'a-t-il pas étudié en retour la préparation d'une possibilité en F1 ? Et avec la Corée grâce à laquelle elle pourrair accueillir une étape du championnat du monde et serait le meilleur moment pour intégrer le sport ?
Il faut se demander ce qu'il en est réellement pour les fabricants de pneumatique compte tenu en particulier du traitement infligé à Michelin. En dépit des millions ( milliards?) investis, il y a une publicité intéressante, spécialement quand ça vient à l'homme dans la rue, tandis que, à l'écart d'une guerre des pneus, sans parler de bricolage constant avec les règles, il y a une petite occasion de démontrer sa compétitivité ou son innovation.
En plus de trouver un nouveau fabricant de pneus, M. Todt doit rester fidèle à la promesse faite dans son programme électoral et de nommer un comissaire dédié à la Formule 1.
Il y en a quelques uns qui craignent que le Français nomme Max Mosley, tandis que ceux qui insistent sur le fait que FIA est synonyme de Ferrari International Assistance attendent, le doigt sur leurs souris et enregistré dans leur messagerie que Michael Shumarer doit donné le feu vert.
Quant à l'équipe, leur préoccupation est que Todt donne le travail à Alan Donnelly, l'une des plusieures nominations controversées pendant le "règne" de Mosley.
Pendant que Shumarer et d'autres personnalités de la Formule 1 tombaient sur eux-mêmes, dans leur empressement à apporter leur soutien à Todt dans la perspective de l'élection, le silence des équipes était assourdissant. Même quand le résultat inevitable a été annoncé, la répons de FOTA fut poli mais en sourdine.
Les équipes ont toujours fait connaître leurs sentiments envers Donnelly, représentant officiel du président pendant le règne de Mosley ayant été appelé pour son rôle de "conseiller spécial" et l'intendant en chef, se diviser. On affirme que les deux correspondent à un conflit d'intérêt distinct.
On craint également que sa société, Sovereign Strategy, qui est basée à la même adresse que la fondation de la FIA- la branche caritative de la FIA- prétendument aidée organise les meilleures stratégies de relations publiques bien que sur une base pro-bono.
En juin, les équipes ont exprimé leurs préoccupations quand Donnelly, escorté par un executif au Grand Prix de Turquie, deux semaines avant que l'équipement anglais ait été dévoilé comme l'un des soumissionnaires intéressés par le creneau sur la grille 2010.
Pour ceux qui continuent d'attendre de voir si Todt est son propre homme ou, comme beaucoup le croient encore, une continuation du règne de Mosley , tous les regards sont tournés vers le Français pour voir comment il se comporte avec les ces deux premières questions sous sa direction du sport.
Le départ de Bridgestone est venu comme un choc majeur pour le sport et beaucoup croient encore qu'il annonce le retrait total de la participation japonaise en Formule 1. Cependant nous en saurons plus les jours qui viennent quand Toyota annoncera ses plans pour 2010 et au delà.
Quand l'annonce de Bridgestone a d'abord été rendu publique, on se demandait si Corworth pourrait être persuadé de s'engouffrer dans la brêche avec un initié suggérant avec culot que le plan de Max était pour la Formule 1 d'utiliser des moteurs Ford 1600 qui peuvent durer toute la saison, pas de nappes et pas d'ailes.
Ayant été si mal traité la dernière fois, il est très peu probable que Michelin veuille revenir pour un deuxième service. Pendant que Goodyear ne semble pas avoir pris trop mal d'avoir été à l'écart pendant les 11 dernières saisons.
Pour cette raison, il faut regarder, tout comme Bernie Ecclestone, à l'Est. Après tout, le fabricant Coréen Kumho n'a-t-il pas étudié en retour la préparation d'une possibilité en F1 ? Et avec la Corée grâce à laquelle elle pourrair accueillir une étape du championnat du monde et serait le meilleur moment pour intégrer le sport ?
Il faut se demander ce qu'il en est réellement pour les fabricants de pneumatique compte tenu en particulier du traitement infligé à Michelin. En dépit des millions ( milliards?) investis, il y a une publicité intéressante, spécialement quand ça vient à l'homme dans la rue, tandis que, à l'écart d'une guerre des pneus, sans parler de bricolage constant avec les règles, il y a une petite occasion de démontrer sa compétitivité ou son innovation.
En plus de trouver un nouveau fabricant de pneus, M. Todt doit rester fidèle à la promesse faite dans son programme électoral et de nommer un comissaire dédié à la Formule 1.
Il y en a quelques uns qui craignent que le Français nomme Max Mosley, tandis que ceux qui insistent sur le fait que FIA est synonyme de Ferrari International Assistance attendent, le doigt sur leurs souris et enregistré dans leur messagerie que Michael Shumarer doit donné le feu vert.
Quant à l'équipe, leur préoccupation est que Todt donne le travail à Alan Donnelly, l'une des plusieures nominations controversées pendant le "règne" de Mosley.
Pendant que Shumarer et d'autres personnalités de la Formule 1 tombaient sur eux-mêmes, dans leur empressement à apporter leur soutien à Todt dans la perspective de l'élection, le silence des équipes était assourdissant. Même quand le résultat inevitable a été annoncé, la répons de FOTA fut poli mais en sourdine.
Les équipes ont toujours fait connaître leurs sentiments envers Donnelly, représentant officiel du président pendant le règne de Mosley ayant été appelé pour son rôle de "conseiller spécial" et l'intendant en chef, se diviser. On affirme que les deux correspondent à un conflit d'intérêt distinct.
On craint également que sa société, Sovereign Strategy, qui est basée à la même adresse que la fondation de la FIA- la branche caritative de la FIA- prétendument aidée organise les meilleures stratégies de relations publiques bien que sur une base pro-bono.
En juin, les équipes ont exprimé leurs préoccupations quand Donnelly, escorté par un executif au Grand Prix de Turquie, deux semaines avant que l'équipement anglais ait été dévoilé comme l'un des soumissionnaires intéressés par le creneau sur la grille 2010.
Pour ceux qui continuent d'attendre de voir si Todt est son propre homme ou, comme beaucoup le croient encore, une continuation du règne de Mosley , tous les regards sont tournés vers le Français pour voir comment il se comporte avec les ces deux premières questions sous sa direction du sport.